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Par Lyon en large le 15 Avril 2021 à 09:20
Bonjour,
hier, sur les berges de la saone, rencontre avec un cygne, qui d'abord était tranquille, puis a cru que nous voulions lui chercher des noises
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Par Lyon en large le 22 Mars 2021 à 09:59
Bonjour,
Il y a quelques années, je faisais la visite de Lyon avec un homme passionné, Bruno, qui nous faisait renouer avec notre ville et ses histoires.
voilà ce que j'ai retenu du quartier qui aujourd'hui s'appelle Saint Clair.
L ile saint Clair à Lyon est la première spéculation immobilière de 1750 à 1760, avec l'arrivée de Jacques Germain Soufflot.
C est une ancienne ile du Rhône qui a été rattachée au bas de la croix rousse, après les travaux de Morand (5 ans) pour dévier le cours du Rhône vers la rive gauche.
L'exiguité des terrains à bâtir au XVIIIe siècle est telle qu'elle ne peut répondre à l'engorgement de la presqu'ile. Les archis et entrepreneurs doivent gagner du terrain en assainissant les brotteaux, soit terrain à brouter. Le quartier Saint Clair était né, il doit son nom à la porte qui fermait la ville sur l'actuel quai Lassagne.
On peut encore voir le noms des rues avec faute d'orthographe rectifiée, dans la pierre. Ces plaques sont à gauches, et très hautes, pour les cochers des fiacres, conduite à gauche.
Quand Soufflot arrive à Lyon, il crée une compagnie avec archis, entrepreneurs, et financiers, afin d'acheter les terrains, dont certains aux Bénédictines, font des parcelles, construisent des immeubles, revendus en appartement.
La configuration du lieu oblige à de la créativité, d'où cette rue avec un immeuble dit en forme de lyre
Les marchands de biens étaient nés. Ce n'est pas pas une profession récente.. Ils seront habités par des médecins, notaires, financiers, soyeux.
Au bout de la rue Royale, se trouvent des immeubles dont les appartements sont restés dans leur jus, stucs, vitraux, parquets, Habiter dans les murs de l'époque Louis XVI et mettre des meubles en cuir noir, ca en jette non !
les vitraux de la montée d'escalier de l'immeuble
les anges au dessus de la porte d'entrée
le parquet en marquèterie, il a du en voir des semelles celui la
et ce lustes à pampilles, Marie Antoinette
une vue de loin de la pièce à vivre devenue un peu contemporaine
Je ne sais pas vous, mais moi, lors de cette visite j'étais vraiment scotchée d'apprendre qu'il ait des appartements musées, ici, à côté de chez nous.
Ce quartier sera entièrement fabriqué. L'emprise de l'impétueux Rhône aura des conséquences.
A partir de 1939, pour permettre l'implantation du tunnel sous la colline de la croix rousse, qui a ouvert en 1952 Il a été malheureusement amputé de quelques beaux immeubles.
Charles Delfante, architecte urbaniste de Lyon, lui aussi a détruit des immeubles des XVII et XVIIIe siècles pour la construction du métro. Les terrassements ont mis à jour des vestiges attestant une occupation romaine du début de notre ère jusqu'au 2e siècle.
Balme de Saint Clair
le 8 mai 1932, sur le cours d'herbouville, un fracas épouvantable. Graviers, sables, murs de soutèment, s'abattent sur 2 immeubles bourgeois. Toitures, poutres, mobilier, tout est fracassé écrasé. Puis le feu a commencé de faire son ravage. Cette catastrophe est en lien avec l'urbanisation du quartier, fait une trentaine de morts.
de même en 1977
Indéfiniement l'eau n'aime pas être dérangée
Puis plus près de nous, la construction d'une passerelle, dite passerelle de la Paix, qui est un cheminement pieton et vélo, pour rejoindre le parc de la tête d'or et la cité Internationale.
Bonne journée à vous, à bientôt pour une autre histoire
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Par Lyon en large le 24 Février 2021 à 19:02
Bonjour,
Retour sur un passé sulfureux de ma bonne ville de Lyon. Aujourd'hui ces dames exercent leur métier dans un quartier, plus précisément le 7eme arrondissement, mais cela n'a pas été toujours ainsi.
Au XIXe siècle, on " confinait " les prostituées dans des maisons closes. L'objectif était le même que 200 ans plus tard, éloigner du paysage urbain ces femmes vectrices de débauches et d'insécurité.
En 1836, 659 filles publiques répertoriées mais aussi des gamines entre 10 et 14 ans qui se négociaient pour un prix d'or. Lyon est une ville de garnison.
Quelques magnifiques immeubles qui servaient à l'époque, vous verrez que leur destination aujourd'hui est totalement différente.
Le document qui suit, a été récemment acheté sur ebay 3 500 €, il serait extrêmement choquant aujourd'hui, voire inimaginable.
Elles sont souvent très endettées. Voila pourquoi le conseil municipal de Lyon du 19 mai 1846, supprime la taxe de 3francs, de la visite médicale. La ville prend en charge les frais médicaux.
Quand on pénètre aujourd’hui dans le « Club du Rhône » au 9, rue de l’Épée (Lyon 3e), à deux pas de la « Place du Pont », on se dit bien que les lieux n’ont pas été conçus pour le judo.
C’est d’abord la lourde porte percée d’une petite ouverture grillagée qui intrigue.
Ensuite, un long couloir étroit oblige à se pousser contre le mur pour laisser passer les judokas et autres amateurs d’arts martiaux.
Au bout de ce couloir, on débouche sur la partie la plus intrigante : devant la banque d’accueil, le sol est ajouré. Cet énorme trou dans le plancher est entouré d’une rambarde travaillé dans une sorte de faux marbre. On aperçoit en dessous les tatamis.
Le docteur Jean Lassagne édite en 1926 chez Albin Michel, l'argot du milieu. On peut y lire des définitions telles que l'antique lupanar , qui a pris le nom de bordel, bordeau (car près d'une rivière)bobinard, boxon, bouic, brick, cabane, gros numéro etc... en ce qui concerne la péripapéticienne, les appellations ne manquent pas, prostituée, louve, mérétrice, courtisane, femme galante, fille de joie, ribaude, catin, créature (Louis XIV) impure (Louis XV) prhyné (Directoire) catiche, femme en carte, retapeuse, marmite, morue, pétasse, putain, pute, tadeuse, tapin, tapineuse, turfeuse, romblère...
J'ai cherché, vous vous en doutez des noms pour les messieurs qui s'offraient les charmes de ces dames, eh bin ! que nenni, que point, niet, quedalle...enfin, nous avons maquereau, micheton, cave, gogo, miché
Quelques lupanars sont disséminés dans toute la ville, Jacobins, Celestins, Bellecour, Edouard Herriot également.
madame Jeanne, possède 3 lieux, 12, et 17 rue Molière
Madame Marcelle elle, situe ses établissements 5 rue du Garet et 3, rue Edouard Herriot
Rue Paul Chenavard etc... plein centre ville dans les beaux et chics immeubles d'aujourd'hui
On en compte pas moins de 100 intra muros et 50 dans les faubourgs. De manière naturelle, le filles passaient de prostituées à mères maquerelles. La Marie Briguet, La Françoise Petit, la Margueritte Cunillat pour n'en citer que quelques unes. 17, Rue lanterne, rue Thomassin, Mercière, Griffon, des Archers, Sur la place des Terreaux 2 immeubles et 15 maisons.
Bonaparte, pour rassurer l'Eglise catholique et une partie de la bourgeoisie, les communes doivent face à ce désert législatif. Il prend alors une série d'arrêtés légitimant davantage le cloisonnement,
Marthe Richard, ancienne prostituée elle même, qui sera entre autres femme politique, qui propose un texte de fermeture des maisons closes. C'est ainsi que seront fermés 1400 bordels.
Il n'est pas très facile aux lyonnais d'imaginer que notre ville ressemblait au quartier rouge d'Amsterdam...
Ce billet, ainsi que le billet sur l'amour est un peu chaud, j'en conviens, mais ma ville, c'est aussi ca.
A bientôt
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Par Lyon en large le 9 Février 2021 à 10:11
Bonjour,
ma ville et ses contrastes, des quais vides, des immeubles chargés d'histoire, et les tours de la Part Dieu
Bonne journée à vous tous
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Par Lyon en large le 23 Janvier 2021 à 13:05
Bonjour,
“ Il (le Lyonnais) est amoureux de sa ville. Il parle avec enthousiasme de tout ce qu’on y voit ”
Stendhal Mémoires d’un touriste 1837
En tôle découpée, en fonte d'ornement, en bois, vous reconnaitrez facilement les quartiers, croix rousse, ouvriers de la soie, ou centre ville, plutôt banquiers.
Les fenêtres lyonnaises sont, depuis la fin du XVIIIe siècle, traditionnellement ornées d'un lambrequin dans lequel s'enroule une jalousie. La présence de la jalousie à Lyon est liée à l'héritage italien des siècles d'or de la ville durant la Renaissance. Traditionnellement formée de lames horizontales de sapin ou plus récemment de bois exotique (bois peint pour résister aux intempéries) suspendues dans un réseau de chaînettes et de cordes, son mécanisme caché dans un lambrequin, elle s'est généralisée sur les immeubles du centre-ville au XIXe siècle et est restée longtemps utilisée dans ces habitations. Moins encombrantes que les volets, les jalousies lyonnaises se sont révélées commodes pour régler la lumière, et permettre l'aération même pendant une pluie.
Aujourd'hui, elles constituent une véritable identité architecturale locale.
Les ferronneries et fontes d'ornement des fenêtres et balcons sont des éléments de décoration de façades considérés injustement comme des arts secondaires. Il est vrai que leur réalisation par des artistes rarement identifiés n'est pas étrangère à la méconnaissance de cet art à part entière.
S'il n est déjà pas toujours aisé d'attribuer à un architecte la paternité d'un bâtiment, il est exceptionnel de pouvoir le faire pour les auteurs d'ouvrages de ferronnerie. Que seraient les façades des immeubles construits jusqu'à une époque pas si lointaine sans la créativité de ces artistes inconnus.
Aujourd'hui les réparateurs de ces petits bijoux sont des bijoux eux mêmes, car peu nombreux. Les volets sont maintenant remplacés par du plus moderne.
Bonne journée à bientôt
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Par Lyon en large le 23 Décembre 2019 à 11:31
Bonjour les gens,
À Noël, on oublie régimes et diètes forcées pour laisser place à la bouffe bien fat propice aux fêtes. Parmi les gourmandises qui réchauffent, la papillote fait partie de nos pêchés les plus coupables. Et devinez à qui l’on doit cette petite merveille chocolatée…? À Lyon évidemment !
Une fois l’hiver venue, rien de tel qu’un peu de chocolat pour réchauffer les coeurs. Et dans l’histoire de la papillote lyonnaise, les coeurs tiennent une place prépondérante. Car avant d’être rendue populaire dans le monde entier, la papillote était une arme de séduction massive. On vous explique…Pour découvrir cette folle et belle histoire, on saute dans la machine à remonter le temps. Cap sur le XVIIIe siècle dans la rue du Bât-d’Argent. Aux alentours des années 1790, la confiserie de Mr Papillot attire les foules. Et pour assouvir les envies de clients toujours plus nombreux, le confiseur s’épaule d’un jeune commis.
Emballer pour mieux emballer
Touché par la flèche de Cupidon, le jeune homme passe ses journées à penser à la belle qui enchante son coeur. Et pour séduire sa promise, il n’hésite pas à dérober quelques bonbons chocolatés dans le dos de son boss. Attentionné comme jamais, le dragueur prend le soin d’emballer les chocolats dans de petits papiers sur lesquels il rédige quelques vers enflammés.
Mais en bon chef d’entreprise, Mister Papillot s’aperçoit que certaines friandises disparaissent mystérieusement. Suspicieux, ce dernier prend son commis en flag’ et le vire sans ménagement. Sauf que Mr Papillot garde un souvenir de son employé pas vraiment modèle et décide de commercialiser des bonbons de chocolat accompagnés de proverbes et citations. Une vraie bonne idée d’entrepreneur qui ne tarde pas à rameuter les gourmands dans sa confiserie.
Des papillotes pour le Révillon
Le concept est lancé mais n’explose qu’un siècle plus tard quand les familles Thomas et Pelen se chauffent à placer des billes dans la fondation de la chocolaterie Révillon, alors située sur l’actuelle avenue Général-Leclerc dans le 7e arrondissement de Lyon, et d’y implanter les papillotes.
À l’heure des fêtes, la papillote envahit les centres commerciaux et confiseries du monde entier. Un succès dingue qui ne nous dit pourtant pas si le jeune commis à l’origine de cette création a finalement réussi à emballer autre chose que du chocolat pendant sa période de chômage forcé…
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Par Lyon en large le 18 Août 2019 à 14:16
Bonjour les gens,
Avant tout, je dois vous confier que toutes mes photos ont été perdues, donc, je vais m'aider des photos du net pour agrémenter mon billet.
je suis très très lyonnaise, perso, je suis arrivée pour la 3eme génération. Ajoute ma fille et ma petite fille, ça calme quand même.
Nappes à carreaux, recettes authentiques, ambiance plébiscitée, les touristes viennent du monde entier pour se restaurant dans les bouchons lyonnais.
Passer à Lyon sans faire une escale par un bouchon lyonnais, c’est comme visiter Paris sans y voir la Tour Eiffel : un blasphème.
Pour vous permettre de briller en société mais aussi pour tordre le cou à un paquet de fausses origines que certains prennent un malin plaisir à colporter voilà la véritable histoire....
A l'époque des canuts, (fin 19e) les cabaretiers avaient l'habitude d'accrocher à la porte, en guise d'enseigne, une botte de branche de pin pour que l'on reconnaisse leur restaurant. En langage lyonnais cette botte s'appelait "bousche" soit faisceau de branchage. Le nom déformé de bouchon est resté jusqu'à nos jours. Sur le carrelage de la sciure.
Dans des bistrots typiques de la capitale de la Gaule romaine, toutes les classes sociales se retrouvent pour ripailler et partager un bon moment. Mais comment sont nés ces bouchons et pourquoi rencontre-t-ils tant de succès ? Comment éviter les usurpateurs d'enseigne ? Appellation labellisée depuis 2012, seuls 27 restos peuvent prétendre au terme Bouchon.
Savez vous que jusqu'à Tokyo nous avons exporté un bouchon, qui lui, est étoilé ?
Pas de chefs étoilés, mais des mères lyonnaises, qui elles seules ont donné naissance à la réputation "gourmet" de la cuisine lyonnaise. Oui, je suis chauvine, et alors j'y vais... elles sont peut être même à l'origine de la gastronomie française. J'y vais fort ? à réfléchir..
Derrière Bocuse ou Georges Blanc il y a une mère
La mère Brazier, la mère Fillioux, la mère Bourgeois, la mère Bizolon, dite aussi mère des poilus. Léa aussi, qui se promenait avait un panneau "attention faible femme ; mais forte en gueule".
Oui chef !!
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Par Lyon en large le 27 Octobre 2018 à 15:03
Bonjour,
un peu silencieuse, je vous l'accorde, ... mais me revlà.
Hospice = hospitalité, pas hôpital. Ca sera pour plus tard.
900 ans que cet établissement a été consacré à la médecine. C'était l'hôpital du pont du Rhosne, qui avait pour vocation l'accueil des pèlerins (hôtel) ainsi que les soldats blessés qui venaient d'Italie. Bon, si par malheur ces gens trépassaient, le lieu étant géré par des religieux, hop hop hop, récup des âmes pour éviter l'errance.
Comment passer d'hôtel à hôpital ? les dates ? genre 1620, c'est la grande métamorphose car la peste ravage la ville, mais aussi les grandes famines. Les notables cassent leurs tire-lires et agrandissent de manière magistrale l'hôpital. Au XVIIIeme siècle, Soufflot s'y colle . Il y a une rivalité hospitalière. Pas très loin se trouve l'hôpital de la charité. Ils vont réunir leurs destins. A Lyon, de ce second hôpital ne reste qu'une tour. il sera détruit en 1933.
En 1934 le lieu dont. nous parlons, sera considéré comme un joyau, et inscrit au monuments historiques.
En tant qu'hôpital il sera fermé en 2009, après une magistrale restauration du grand dôme.
Bref
Les soeurs de Dieu encornettées étaient nombreuses, n'étaient pas des religieuses, elles avaient un contrat renouvelable d'un an. Le plus souvent c'étaient des anciennes prostituées repenties. Elles avaient et le couvert, en contre partie d'un travail pénible (la pénibilité ... je ne crois pas que même le mot était connu).
Le lieu a toujours été laïc.
Un truc que j'ai appris qui m'a stupéfaite, côté quai du Rhône, des échoppes dont un vois encore les chiffres sur les portes étaient en fait des magasins de gros, de la boucherie en priorité afin que les gens malades puissent venir se servir et prendre des forces.
Un autre truc qui serait mal vécu aujourd'hui, les médecins internes n'avaient pas le droit de se marier, tant qu'ils n'étaient pas installés. Aujourd'hui on descendrait dans la rue.
Après des années de restauration, ce lieu est dédié au plaisir, de la balade, des restaurants avec terrasse , 30 magasins .
Je ne sais pas où vous êtes situés, je vous propose la visite guidée
à bientôt,
2 commentaires -
Par Lyon en large le 11 Décembre 2014 à 07:02
sous des lanternes japonaises, je poursuis ma promenade
elles oscillent légèrement avec le vent, la lumière est très délicate
ma route est facile, de nombreuses fleurs me guident
l'origine de cette fête est religieuse, le symbole, des petites lumières modestes,
Aladin est invité, sa lampe est placée trop haut, je ne pourrais ni la frotter, ni faire un voeu, dommage ..
la passerelle s'est mise au diapason, ne dirait on pas un instrument de musique
oyé oyé bonnes gens, encore cette année les trompettes ont raconté une belle histoire
à bientôt
7 commentaires -
Par Lyon en large le 9 Décembre 2014 à 23:52
Le froid et vent n'ont pas vaincus les lyonnais, face à leur fête bien-aimée . Cette année, beaucoup de poésie dans les animations. Toujours des couleurs qui glissent, s'envolent, éblouissent.
La note est mise avec une lampe à filaments, le coeur un peu cabossé, puisqu'après tant d'années elle n'est plus qu'un souvenir, elle qui a été la bienvenue dans toutes les maisons. Une manière aussi de fêter les 150 ans de la croix rouge
Sweet city (Jacques Rival)
Un mur de 5m de haut qui réagit aux bruits et rumeurs de la ville
(collectif des étudiants de l'Ecole nationale d'Architecture de Grenoble)
Une place discrète nous offre une scène avec des ballerines. Des tutus, des chaussons, de la musique qui donne aux visiteurs l'occasion de quelques pas de danse. Les arbres avec des projections de lumière donnent l impression de bras en
mouvement.
Salle de ballet (Aurélie le Gougouec)
Notre célèbrissime place des Terreaux, elle aussi tourbillonne sur les notes d'un tango argentin endiablé, de tableaux de maîtres, Puis c'est l'arrivée inattendue de danseurs hip hop, L'ensemble est joyeux, multicolore
(Gilbert Coudène, Etienne Guiol)
Un histoire merveilleuse de plumes blanches, virevoltantes, de manière très douce, dans des monolithes de verre, Magique, féérique,
Njörd, esprit du vent (Kimi Do, Wilfried Della Rossa, Thomas Mathieu)
mes photos ne sont que des souvenirs, mon appareil photo n'a pas bien répondu à l'appel, en effet il s'est beaucoup bloqué, Le Photographe docteur m'a dit qu'il été un peu usé...
Les yeux, le coeur, les poumons aussi se sont régalés avec le parcours de 4,5 km,
à bientôt
10 commentaires -
Par Lyon en large le 23 Novembre 2014 à 09:53
Bonjour,
Combien d'années que je tiens mon blog ? longtemps....
Combien de temps que je ne le tiens plus.. longtemps...
Pourtant il a été, avec vous tous, mes amis visibles et invisibles, un vrai compagnon.
Je me lance un défi, juste pour reprendre la joie de ces partages, de publier une photo tous les deux/ trois jours. Prise dans la semaine de la publication. C'est une expérience, vais-je tenir le coup ? l'avenir nous le dira.
Les thèmes? , je serai ravie que vous donniez votre avis dessus. C'est super aidant.
Je suis une flâneuse, je me promène dans ma ville, dans les parcs, sur les rives du Rhône et de la Saône, j'observe les passants. Je ne me pose pas souvent, je marche.
Allez, j'y vais, hier au parc de la tête d'Or
9 commentaires -
Par Lyon en large le 27 Avril 2014 à 20:20
De l'insolite sur ma colline, avez vous essayé les échasses, quel résultat ? quelle sensation ?
un mode écolo de se déplacer
4 commentaires -
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Par Lyon en large le 15 Juin 2013 à 07:31
Bonjour à tous,
Celà fait bien longtemps que je n'ai pas posté, car la vie de mon ordinateur était en escalier
il semble ce matin aller beaucoup mieux, il atteint un palier confortable, où il peut, tout à loisir, constater le chemin parcouru.
Erreur sur la personne!! deux signatures valent elles mieux qu'une ?
contente de vous retrouver. Bon week end
7 commentaires -
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Par Lyon en large le 23 Avril 2013 à 06:09
un bestiaire urbain, où plus personne n'est en cage.
Les tags, j'adore, dans les rues de la croix rousse, un artiste poète donne de l'air aux oiseaux, une balade enchantée avec PASTELLE, elle a trouvé l'auteur kesa street artist
le premier cadeau, haut perché sur le mur
mais où est la souris ?
pas bien loin, tout le monde au complet,
il fait jour et soleil, m'dam chauve souris est encore dehors, tiens tiens
ces découvertes, grâce à CLindeVie qui a mis la puce à l'oreille ; une belle cueillette avant que ces "collectors" dispaissent
OUVREZ GRAND VOTRE CAGE
ENVOLEZ- VOUS
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