-
Par Lyon en large le 9 Septembre 2011 à 08:18
Connaissez-vous Allan Kardec ? Un chanteur gaélique peut être, ce nom chante bien les airs d’Irlande, vous connaissez peut être mieux Hippolyte Léon Denizard Rivail
A Lyon, sur un ter plain entre la voie montante et descendante de la voie rapide des berges du Rhône, une stèle à son nom L’endroit n’est pas très intime, d’ailleurs peu de lyonnais en connaisse l’existence. Elle se trouve le plus près possible de la maison natale, rue Sala.
Sa tombe est au Père Lachaise, encore aujourd’hui elle est fleurie comme au premier jour, ce qui n'est pas le cas de nombreuses tombes de personnes, connues et aimées du grand public, et cependant abandonnées.
Mais qui ne connait pas cet homme, père fondateur du spiritisme. Cela lui est offert par les Etats Unis, Il découvre la pratique des tables tournantes, en 1855, Il prend à ce moment-là le nom d’Allan Kardec, nom qu’il aurait porté dans une vie antérieure, alors qu’il était druide.
Il écrit plusieurs livres, dont le livre des esprits,
que l’on trouve toujours en librairie, car toujours réédité Il fonde également la Revue spirite, magazine encore publié de nos jours dans plusieurs langues.
De nombreuses personnalités furent séduites par le spiritisme, tels Victor Hugo, Théophile Gautier, Victorien Sardou, Camille Flammarion ou Conan Doyle. Ils étaient convaincus que le spiritisme pouvait apporter la preuve scientifique de la vie après la mort.
De nos jours, Allan Kardec est l'un des auteurs sociologiques français les plus lus au Brésil avec plus de trente millions d'ouvrages vendus.
La vie d'Allan Kardec fut également le thème d'une pièce de théâtre brésilienne en 2009.
timbres brésilens à son effigie
Maintenant, quand vous mettrez une bougie sur une table ronde, des lettres de scrabble et invoquerez les esprits pour avoir des réponses, (ce que perso je n'ai jamais fait) vous aurez une pensée particulière pour celui qui nous a fait découvrir le spiritisme en France
5 commentaires -
Par Lyon en large le 9 Mai 2011 à 06:51
Lulu : Cette femelle gibbon est au Parc de la Tête d'Or depuis 1961 ! Lulu est la doyenne des gibbons dans les zoos d'Europe avec son âge estimé à 50 ans. Après 44 années sur son rocher, elle a rejoint cet enclos au début des travaux de la Plaine africaine. Elle s'y plait apparemment beaucoup.
Elle était installée sur une petite ile, un seul arbre, à droite les flamants roses, à gauche les chèvres, sur lequel tout au long de la journée elle effectuait des figures ou d'une seule main elle, pivotait a 360°
Lulu la maitresse femme, qui ne s'est jamais reproduite, se qui est peut être le secret de sa longévité, car elle a trucidé Harry, son mari qui lui voulait du bien.
Pourquoi sur une ile, juste avec un arbre et un nid, car ce singe ne sait pas nager, il ne pouvait s'échapper.
Depuis quelques années, elle vit tranquille dans son appartement privé. Le soir, les animaux sont tous rentrés dans leur loge pour la nuit, car dans ce grand zoo, la sécurité règne, d'autant que la nuit il n'y a pas de personnel soignant.
Lulu, la star, lorsque vient l'heure de rentrer, suivant son humeur se met en travers de sa porte, écarte les bras et refuse d'entrer.
Les soigneurs ont bien tout essayé, et comme pour grand nombre d'êtres vivants, l'appel de la gamelle est souvent une solution.
Ca a marché, mais pas tant que ca. Notre Star a décidé, lorsqu'on lui présente de la nourriture à l'intérieur de sa loge, qu'elle n'accepterait que des framboises. Et vous devinez ce qui se passe... Elle a ses framboises tous les soirs, en même temps que sa banane obligatoire.
Comme toute la semaine des vacances scolaires j'ai pu arpenter le parc de long en large avec ma gentille Pépette, j'ai constaté que l'effet kiss cool des bons soins était que contrairement à moi, elle avait gardé toute son agilité.
Le matin elle pousse des cris de joie en quittant son petit F2 douillet.
photo de visite Lyon
Alors ca vient ces framboises ??
photo du net
complement d'objet direct offert par Geneviève
<
32 commentaires -
Par Lyon en large le 28 Avril 2011 à 06:46
JUSQU AU 30 AVRIL 2011
exposition des sculptures monumentales d'un sculpteur toulousain, TOUTAIN, à la Cité internationale de Lyon
ou ICI
d'abord les transporter des statues immenses dont la plus grande mesure 8 mètres de haut. Ces statues noires réalisées en résine représentent des personnages tout en rondeur : femmes, amoureux, cyclistes...Tout est accentué, amplifié souvent déhanché, Elles pèsent entre 300 et 500 kg.
VA MON ENFANT
Les visages sont vides et pourtant très expressifs. Je me suis baladé avec elles un bon moment, sous le soleil. Soit en vélo, soit à la terrasse d'un café. Elles s'offrent au toucher, à la caresse.
Que pensez vous de toutes ces beautés pulpeuses sans petite culotte ??comment ne pas faire un rapprochement avec Botero ?
bonne journée
37 commentaires -
Par Lyon en large le 22 Avril 2011 à 07:52
Un beau bâtiment derrière les voûtes de Perrache, face à une nouvelle place, appelée place des Archives, trop fort non, Derrière, là il y a des appartements à acheter, l’ancienne prison. Si vous êtes intéressé.
avant
après
Dans ces archives une exposition sur les décors d’opéra au 19eme siècle. Précédemment il y avait eu MOURGUET et Guignol.
Je ne vais pas vous raconter où est né, où a vécu, où s’est marié, combien d’enfants , soit la vie Monsieur Louis BARDEY, peintre décorateur, du 19eme siècle. Je vais juste vous dire que ces maquettes en volume, les esquisses, les décors peints sur du carton, sont des merveilles, que nous avons la chance de voir, car les décors de théâtre ont une vie éphémère. Soit ils sont détruits, soit le support est réutilisé. Pourtant, ce sont des chefs d’œuvre.
là c'est le décor en situation
là se sont les maquettes elles font 50/50
Le 6 janvier 1864, Napoléon III accorde la liberté des théâtres qui permet à n’importe quel établissement d’exploiter n’importe quel gente dramatique ou lyrique Cette réforme permet à l’opérette qui, jusque-là ne pouvait être jouée qu’aux Bouffes-Parisiens, de conquérir de nouvelles salles. La première tournée lyonnaise d’Offenbach et des Bouffes-Parisiens ne maque guère les esprits
Arrêté du Maire concernant les débuts
Article 1 : Les artistes du Grand-Théâtre soumis aux débuts devront se faire entendre dans deux rôles différents de leur emploi…
Article 4 : chaque spectateur recevra, en même temps que son billet d’entrée un bulletin de vote, revêtu du cachet de la Mairie et portant imprimés les noms des artistes débutants
Article 7 chaque spectateur remettra ensuite son bulletin de vote à l’agent de service, après avoir rayé, s’il y a lieu, les noms des artistes dont il demande le renvoi…
Article 12 : les artistes seront acceptés s’ils obtiennent plus de la moitié des suffrages exprimés
A ce propos Théophile Gautier écrivait dans un article consacré à Joseph Thierry directeur de la Comédie Française et décorateur de théâtre dans le moniteur le 15 octobre 1860
« Il est douloureux de penser que rien ne reste de ces chefs d’œuvre destinés à vivre quelques soirs, et qu’il disparaissent des toiles lavées pour faire place à d’autres merveilles également fugitives. Que d’invention, de talent et de génie perdus et sans même laisser pour toujours un nom !
C’est pour protester autant qu’il est en nous contre ce déni ou plutôt cet oubli de justice que nous avons écrit ces quelques phrases à propos de ce véritable artiste, qui serait à coup sûr célèbre s’il avait dépensé la même quantité de talent sur des toiles restreintes et entourées de cadres d’or »
9 commentaires -
Par Lyon en large le 31 Mars 2011 à 07:51
bronze de Rodin de 1880, hauteur 1.92m, que l'on peut voir dans le jardin du musée des beaux arts à Lyon
25 commentaires -
Par Lyon en large le 29 Mars 2011 à 07:40
Au hasard d'une promenade dans le quartier, la musique attire mon attention, puis un énorme dragon qui déambule dans les rues étroites. Il fait un soleil radieux, les enfants sont heureux d'être une abeille, moi, je suis contente d'être là avec des amis.
tout le monde s'était déguisé en animal, les grands, les petits, l'orchestre.Une joyeuse bonne humeur.
17 commentaires -
-
Par Lyon en large le 21 Mars 2011 à 07:17
Brocanteurs, chiffonniers, acheteurs potentiels, passants, badauds ou encore simples curieux se sont retrouvés chaque dimanche sur cette place, la place Rivière à Villeurbanne, durant soixante années.
Ce marché a effectivement fonctionné de 1914 à 1974 sans interruption.
Source :"Les Collections Remarquables - Les puces de la place Rivière"
puis les puces se sont déplacées, plus rien de commun
les puces du canal
région Rhône Alpes
400 exposants
tous les
dimanches de 6h à 13h
1 rue du Canal
69 100 Lyon-Villeurbanne
Tel : 04 72 04 65 65 Fax 04 78 80 33 22
cop-sarl@wanadoo.fr
Bus : 37 Part-Dieu / Vaux-en-velin
arrêt : Le Roulet
Bus : 7 L-Bonnevay / -Mas du Taureau
arrêt : Le Roulet
voir plan
sur le Site, cliquez ici
www.pucesducanal.com
cliquez le lien
des bâtiments en dur, des stands qui sentent bon l'encaustique, Des stands de plein air aussi, mais bien rangés organisés. Il y a même un parking payant, avec le gars qui nous dit où et comment se garer.
Les lyonnais se baladent très nombreux le dimanche, par tous les temps. C'est institutionnel.
Et vous, vous aimez les puces, les brocantes, les vide greniers ? acheteurs ? vendeurs ? Quelle est votre plus belle prise ?
A vous lire...
16 commentaires -
Par Lyon en large le 9 Mars 2011 à 11:47
Cette aprem, un temps magnifique, je promène ma pépette au parc. Dans un coin, impossible de ne pas la voir, une baraque à barbe à papa. Ses yeux se sont écarquillés à la vue de ce nuage rose.
Mais d'où vient cette gourmandise ? ravivant un vrai souvenir particulier d'efance.
Histoire
L'histoire de la barbe à papa débute en 1897, lorsque William Morrison et John C. Wharton, confiseurs de Nashville au Tennessee, inventent une machine pour réaliser une sorte de filage de sucre cristallisé qui, enroulée autour d’un bâton, forme la barbe à papa.
Ils présentent leur Fairy Floss à l'exposition universelle de Saint-Louis de 1904 (aussi appelée Foire internationale de Saint-Louis) et remporteront ainsi un succès monstre. Malgré un prix de 25 cents l'unité, somme importante pour l'époque (c'était la moitié du prix d'admission à la foire), ils en vendront 68 655. (C’est d'ailleurs à la même foire qu'a été présenté le premier cornet de crème glacée au monde.)
Dans les pays anglophones, la barbe à papa est connue sous des noms différents : candy floss (Angleterre), cotton candy (États-Unis), fairy floss (Australie)Popularité
Beaucoup de personnes considèrent la barbe à papa indissociable d'une visite à un champ de foire, au cirque ou à une fête foraine. Elle est aujourd'hui vendue en pots type pop-corn dans les clubs vidéo et dans les grandes surfaces. Son prix au kilo est extrêmement élevé, en raison de sa faible densité.La couleur la plus courante de barbe à papa est le rose, mais on en trouve également en blanc, bleu, vert ou jaune selon le colorant utilisé.
Le simple fait de manger de la barbe à papa représente une attraction, et fascine aussi bien les enfants que les adultes. C'est doux et gluant et quoiqu’elle ressemble à de la laine au toucher, elle devient croustillante au contact de la salive et fond presque instantanément dans la bouche.
La barbe à papa n'a pas beaucoup d'arôme, sinon celui de sucre, bien que la machine elle-même dégage un goût de sucre cuisiné.
Source : wikipedia.org
17 commentaires -
Par Lyon en large le 8 Mars 2011 à 00:25
La part dieu
Ce n’est pas d’aujourd’hui que l’on parle de ce domaine. La première orthographe « La pardeu » que l’on peut comprendre comme propriété de Dieu, ou le don de Dieu, date de 1203. Ce lieu était une zone inondable, le brotiau, devenue « Brotteaux ».
Au XVeme siècle, c’est un ensemble de prairies, le domaine une grosse ferme prospère de 140hectares. La récolte du blé est supérieure à la moyenne du royaume et les volailles sont appréciées des gourmets lyonnais. C’est également un lieu de villégiature agréable traversé par une petite rivière, la Rize
Une certaine Madame de Servient, se sentant coupable d’une catastrophe qu’elle aurait causée sur le pont de la Guillotière, entrainant la mort de 200 personnes, pour se racheter fait don de son domaine à l’Aumônerie. Dès lors, le lait, la viande et les fruits de la ferme sont destinés aux malades de l’hôtel-Dieu
A la fin du XVIIIème siècle l’architecte Morand construit un deuxième pont qui permet d’ouvir plus largement la ville de Lyon
Le même architecte urbanise le terrain et la commune de la Guillotière est rattachée à Lyon en 1852, Tout cela est au détriment d’une place forte, les Hospices civils vont vendre 28 ha à l’administration militaire en 1844.
L’emplacement de la nouvelle caserne semble choisi, on soupçonne ce nouveau quartier d’abriter des réunions clandestines de socialistes et d’anarchistes. Un imposant quartier militaire est édifié entre 1851 et 1863. Les défilés de dragons, lanciers et cuirassiers feront vibrer le sol du cours Lafayette.
Dragon
Les inondations de 1856 auront pour conséquences l’assainissement du quartier et l’implantation d’une nouvelle population composée de commerçants, d’employés et de fonctionnaires.
Inondations de Lyon (1856)
Montée des eaux : vue du quai Saint-Antoine et du quai des Célestins. Cette photographie est de Louis Froissart.
Inondations de Lyon (1856)
Vue des dégâts causés par les eaux, rue Madame, sur la rive gauche du Rhône, dans le 3e arrondissement. Auteur inconnu.
Ce n’est qu’en 1960 que la « caserne de la PART-Dieu « sera cédée à la ville de Lyon.
Evacuation de l’armée traine en longueur, les travaux de démolition ne commenceront que 8 ans plus tard.
Qu’y aura-t-il sur ce terrain ?
Le projet de créer un centre décisionnel en Rhône Alpes pour contrebalancer la centralisation parisienne ne verra pas le jour. Un pôle culturel est prévu par l’architecte Delfante, mais seuls l’auditorium et la bibliothèque seront réalisés. La SNCF refuse de créer une nouvelle gare Il faudra attendre 1983, deux ans après l’ouverture de la ligne TGV (l’ancienne n’a pas été démolie, elle a été classée)
Le quartier de la Part Dieu accumule tous les superlatifs : deuxième centre d’affaires de France, premier centre commercial d’Europe.
Dans ce quartier quasi entièrement consacré au tertiaire, s’élève le premier gratte-ciel surnommé par les lyonnais le crayon 1972/1977. Maintenant la nouvelle tour oxygène, la tour incity
Fontaine de la Part Dieu par Ipoustéguy
(source utilisées, que vous pourrez consulter à la documentation Lyon et Rhône-Alpes, ainsi que des photos du net)
18 commentaires -
Par Lyon en large le 7 Janvier 2011 à 07:44
la porte Saint Sébastien, entre le parking de la poste (où je vais chercher mon courrier) et des habitations, vestige des remparts de la Croix rousse Peu d'entre nous la connaisse. Elle est discrète, quasi inaccessible.
Le fort est né en même temps que l’enceinte de la Croix-Rousse, au début du XVIe siècle. Il ne s’agissait au départ que d’un bastion, prolongé par une courtine à deux branches. La première suivait la crête du rocher et la seconde descendait jusqu’à une tour située sur la rive de la Saône. Les pierres utilisées provenaient de la Saône, de sa rive et du quartier de la Lanterne. Le fort ne sera achevé qu’au XVIIIe siècle avec un autre bastion, du côté de la rivière.
Après la première révolte des canuts en 1831, la rénovation du fort devient indispensable.
Ce n’est qu’après son acquisition par l’Etat en 1834 que les modifications deviennent possibles. Le fort verra alors se construire de nouveaux bâtiments: une cantine, une caserne et un quartier et un pavillon des officiers.
sur cette photo, les pierres les plus blanches datent des romains.
Le Service de Santé des Armées occupe les lieux à partir de 1932, avant de laisser sa place aux allemands lors de la seconde guerre et de la récupérer en 1947. En 1984, l’Inspection des Services vétérinaires s’installe jusqu’à ce que le fort ne devienne propriété du ministère de l’Economie, des Finances et de l’Industrie. Après une remarquable rénovation alliant patrimoine historique et contemporain, l’Ecole nationale du Trésor public emménage en 2004
(des infos ICI)
20 commentaires -
-
Par Lyon en large le 2 Janvier 2011 à 07:39
le siège du chef et le tabouret du plaignant
le pique nique avant Trigano
tout ca c'est moi qui l'ait fait
23 commentaires -
Par Lyon en large le 27 Décembre 2010 à 07:10
je n'étais pas une petite fille bien sage, je recevais pas mal de punitions de la part de mon père. Mais, entre Noel et le jour de l'an, il me disait, là tu es tranquille, c'est la trève des confiseurs
La trève des confiseurs est en France, la période entre Noel et le jour de l'An généralement passée au repos. Il n'y a pas de politique, pas de chambre de députés, pas de Sénat (depuis 1875) pas de foot non plus, là c'est la météo.
La trêve des confiseurs est une expression également utilisée pour désigner l'accalmie traditionnelle de fin d'année sur les marchés boursiers.
Cette expression vient des fêtes traditionellement propice aux plaisirs de la table et plus particulièrement aux confiseries.
Dans les confiseries Lyonnaises il y avait les papillotes
La papillote est un chocolat accompagné d'un papier portant un message, le tout enveloppé dans un papier doré ou argenté. Cette friandise est originaire de Lyon et se consomme principalement pendant les fêtes de Noël.
Traditionnellement, la papillote est ainsi composée : un papier extérieur : brillant, découpé en petites lamelles étincelantes ; une devinette, une blague, une citation amusante et/ou un pétard et une friandise, parfois une pâte de fruits, mais plus généralement du chocolat. La légende veut que les papillotes soient nées à Lyon (dans le quartier des Terreaux) à la fin du XVIIIe siècle, quand le jeune commis d'un confiseur eut l'idée, pour charmer sa belle qui travaillait à l'étage au-dessus, d'envoyer ses petits mots d'amour enveloppés autour d'une confiserie. Son patron, M. Papillot, l'aurait surpris puis renvoyé, mais ayant trouvé l'idée des plus intéressantes, aurait décidé de la mettre à profit : la papillote était née[1]. Lenotre dans Vieilles maisons, vieux papier écrit qu'Anne-François-Joachim Fréville est l'initiateur de la poésie des confiseurs. Depuis c'est une tradition, et les papillotes ont une place de choix sur la table des Lyonnais autour de Noël.
Maintenant nous connaissons tous, mais ma fille, lorsqu'elle est partie vivre à Bordeaux il y a plus de 20 ans, et qu'elle rapportait des papillotes de chez nous, les bordelais ne connaissaient pas.
Connaissiez-vous l'origine de cette friandises chatoyante ?
23 commentaires -
Par Lyon en large le 15 Décembre 2010 à 08:08
HOMMAGE A BARTHOLDI , place à la FONTAINE
Elle a été au coeur de la fête des lumières cette année Chars et chevaux parés de couleurs éclatantes sortent des eaux
L'artiste Patrice WARRENER lui aussi de renommée internationale, s'est arrêté à Lyon après l'Autriche et la Nouvelle Calédonie
Sur les murs de la place devait être projetée une gigantesque cavalcade aux multiples couleurs, mais je n'ai vu que le mot SORTIE.. la technique vous dis-je
J'ai une tendresse particulière pour les néréides de la place des Jacobins, Fabrice Houdin s'en ait emparé, elles d'habitude nues, sont ce soir vétues de rouge, de blanc, tout est éclatant.
Sur la place de la République, une merveilleuse animation, j'ai trouvé le lien sur le net, car je n'ai pas réussi à capter tout ce qui était offert
voilà ma participation est terminée , si vous allez voir sur les sites des lyonnais, lyonnaises, d'autres photos, d'autres lieux, vous ne serez pas déçus.
34 commentaires -
Par Lyon en large le 14 Décembre 2010 à 07:40
Philippe RIZZOTI, MILOSH LUCZYNSKI, et Stéphane BEVE, se sont attaqués à revisiter un bâtiment très ancien, l'Eglise Saint Nizier
Le bâtiment se construit pièce après pièces, époque après époque, comme un puzzle du passé, racontant l'oeuvre architecturale.
Achevée l'église Renaissance opère une mue métallique et végétale et se niche sur un nuage, avant se de désintégrer dans un flash
Une métamorphose onirique inspirée de l'univers graphique du japonais Hayao Miyazaki. Architecte renommé, Philippe RIZOTTI a notamment remporté de pristigieux concours à Sao Paulo et à New York.
Alors, profitons de son fugitif passage dans Lyon
31 commentaires -
Par Lyon en large le 13 Décembre 2010 à 07:52
un oeuf assez gros de préférence (koert vermeulen et marcos vinals production ACTdesign structure par Odeaubois)
un grand chef de cuisine
résultat, des macarons géants
les étudiants des écoles d'architecture, design et ingénieur (oeuvres lumineuses économie d'énergie)
30 commentaires -
Par Lyon en large le 3 Décembre 2010 à 00:00
vestige de la fête des feuilles
hier, encore des feuilles rousses, le chauve dit ; hier encore des cheveux
vue à travers la grille, car pour des raisons de sécurité, il était encore fermé.
Je n'ai pas hésité à aller à Fourvière, sur la colline qui prie pour voir les toits, mais la brume était venue entre temps me pourrir ma photo
26 commentaires
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique