• chez Lejamy  la proposition, CAFE

    voici ma participation juste après avoir dégusté le mien

    et si vous voulez rire en même temps  que vous buvez votre bon jus,
    allez chez  Indya un grand moment avec Van Damme  neutral




     

     

     

    sans sucre ???


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  • chez Poupinette le thème "Etoile"

    ci-dessous une photo où un jeune cuistot, futur très étoilé. Je reconnaissez-vous ?


    j'en profite pour vous souhaiter une excellente nuit de passage dans l'année 2010




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  • http://www.edunet.ch/activite/eau/jeuLangue/img/act1/Acrostiche_3.jpg



    Que nous demande Brunô pour son 18eme défi ? de faire un acrostiche avec le nom de notre blog, moi ce sera Nicole Fleuret, je n'ai pas été chercher loin, je le regrette parfois. Il y a des noms de blogs tellement riches, sympas

    Ne renonce jamais
    Idealise tes désirs
    Chasse les idées noires
    Oublie les fâcheux
    Laisse la vie s'écouler
    Enthousiasme toi chaque matin
     
    Car
       
    Fantastique est le ciel du soir
    Lumineux le soleil du matin
    Eblouissante la lumière de l'été
    Universelle la tendresse
    Réconfortante l'amitié
    Eclatant l'amour des tiens
     
    Tout, tout, tout peut être Bonheur

    Je remercie très fort mon amie Geneviève, car c'est à elle que je le dois. Je prends d'ailleurs bonne note de son contenu. Je vous l'offre, je partage avec grand plaisir, il y en a pour tous.



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  • link Brunö nous demande de republier un ancien article. 

    Pour Noël, offrez-nous le meilleur de vos mots !
    Essayez de choisir un défi, un thème de la semaine, un sujet d'atelier d'écriture et ou de jeu de mots auxquels vous avez participé


    Cette semaine le thème de la dana 
    nous demande de raconter un souvenir d’enfance. Sous la forme qui nous fait plaisir.

    Pour moi ce sera assez facile. C'est la soupe de lait à la floraline.

    dans ma petite enfance, avec le récipient ci-dessus, que nous appelions dans la région "une Berthe", avec mon frère nous allions chercher le lait  à la ferme la plus proche. Pour aller, évidemment la berthe faisait des tours et encore des tours, des moulinets avec des  variations de salto avant, arrière, double saltos etc. Mon frère, de 4 ans mon ainé, savait bien plus beaucoup  que moi, et dans son immense savoir de gamin de 10 ans,il savait  que le lait ne tomberait pas si le récipient tournait à une certaine vitesse. Moi, bien plus petite, je me suis faite arroser et gronder plus souvent.

    Ma mère faisait la soupe pour le soir, il n'y avait pas de passe droit à cette époque. Il y avait des soupes détestables comme le tapioca, même encore aujourd'hui le nom m'écoeure, il y avait aussi la soupe de pain, confectionnée avec les quignons devenus trop durs. Bien sur c'était fait avec du bouillon de pot au feu, mais j'avais pris l'idee que c'était une soupe de chiens et tête de mule, je n'en démordais pas. Elle faisait aussi la minestrone, bien que nous ne soyons  ni de près ni de loin méditerranéens, mais je ne l'aimais pas non plus car les légumes  coupés en petits petits morceaux, je ne pouvais pas avaler. J'aime la soupe, les 1000 soupes possibles et imaginables que les recettes d'aujourd'hui nous offrent, mais il faut qu'elles soient passés, moulinées, lissent sous la langue.

    Une soupe avait toujours le suffrage, elle me mettait en joie, me réconciliait des mauvaises notes, des anicroches avec mes copines, de mon mal de ventre, c'était le remède souverain, le potage de lait avec de la floraline, cette semoule extrêmement fine, que la soupe en devenait crémeuse.

    Je l'ai aimé adulte lorsque j'avais des peines de coeur, ou que j'avais du stress à mon boulot. Je l'ai aimée enceinte, je l'ai aimée quand j'avais froid, je l'ai aimée quand j'avais peu de sous dans mon escarcelle.Je l'ai toujours aimé. Pas de défaillance

    Je ne bois pratiquement pas de lait, Croyez moi si je vous dit que j'ai toujours la floraline dans mon placard et le peu de lait  en poudre nécessaire pour agiter le drapeau rouge en cas de SOS.

    De vous raconter mon histoire, presque ca me donnerait envie de m'faire une tit soupe ce soir.

    Je vous embrasse.



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  • prem--neige-fleurs-055.jpg
    chez http://albanature.over-blog.com/

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  • Lettre ouverte par erreur, proposé par

    Brunö

    Dans ma boite aux lettres, un courrier inhabituel, une petite enveloppe comme on ne fait plus. D'ailleurs elle n'est pas aux normes, mais d'où vient elle ??   

    Monsieur Pinel, oui c'est bien le nom de mon mari, mais 1937?? Et nous sommes en 2009, qui habitait là ? à part son grand père? Elle en a mis un temps celle là ... ouvrons, vite, curiosité oblige.

    http://pagesperso-orange.fr/saintleger3/region9/images/86a---enveloppe1937.jpg

     

    Vienne, le 22 juin 1937

     

    Mon  très cher Ernest,

    Voilà maintenant quatre ans que j’ai quitté le village. J’ai obéi à un père autoritaire. Je suis loin de vous, mon Ernest, à jamais, puisque vous êtes promis et fiancé à une autre, je l’ai appris. Il parait qu’elle est gentille, et vigoureuse, ainsi elle vous fera de beaux enfants. N'est-ce pas-là ce que désire votre père ? Une belle lignée.

     

    Comment ai-je pu m’éloigner de vous, avec mon secret.   Comment ai-je pu vous laisser ainsi, sans lutter contre  mon père qui m'a fait épouser une personne que je n’aimais pas, mais qui avait des biens et ferait, le nécessaire. Il a été très compréhensif pour nous deux.

     

    Je ne trouve pas une minute d’apaisement votre souvenir, toujours m’envahit, dans tous les actes de ma vie. Vous êtes avec moi, Je pense et repense au moment où je me suis donnée à vous dans le grenier. Nous étions fous, heureux, jeunes. Nous prenions la vie avec insouciance, sans imaginer les conséquences de notre amour. Mais les conséquences ont eu raison de nous. 

     

    Si je prends audace de vous écrire aujourd'hui, c'est pour vous dire que l'enfant a pris la rougeole et que malgré mes soins, il est trépassé. Cet enfant était toute ma vie, il était vous. Blond, grand, éveillé pour son âge, il savait se tenir et parlait déjà avec aisance. Il aimait beaucoup jouer avec son cerceau Des heures il courait joyeusement derrière lui, en lui donnant des petits coups de baguette. C'était un bel enfant. 

      Germain nous avait emmené chez le photographe, c'est ainsi que j'ai avec moi une photo d'Antonin, que je vous glisse dans l'enveloppe. 

    Je ne vous importunerai plus, car je sais que si ma lettre était découverte, vous pourriez, non je ne veux pas imaginer les conséquences. Gardez-moi sur votre cœur, car là est la place que vous m’avez offerte.

     

    Emilienne.

     

     

    P.S  Germain nous avait emmenés chez le photographe, c'est ainsi que j'ai avec moi une photo d'Antonin, que je vous glisse dans l'enveloppe. 

     

    [yin+xin+1959-,+lettre+d'amour.jpg]

    Un envoi qui arrive avec toutes ces années en retard, annonce d'une mauvaise nouvelle et en même temps délivre un secret. Grand père Ernest a t il su tout ca?? 


    41 commentaires
  • http://www.over-blog.com/com-1128845087/Le_rendez_vous_de_linsolite.html
    canelle56

    voilà ma participation sur le thème montagne et rochers aux formes bizarres

    La nature nous offre toute sorte d'animaux, je ne résiste jamais à les ''dit maman, on peut le ramener à la maison...", moins encombrant, ils sont sur la pellicule


    une grosse poule qui couve peut être
    est-ce le bon profil pour la photo ?


    L'ours de Batz sur mer  et sa légende, que je raconterai certainement un jour ...


    le grand singe du cap d'agde, avec sa chevelure.



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  • chez TRINITRY  persiennes, jalousies ou volets, voici ma participation





    20 commentaires
  • chez Lajemy

    je me demande comment je vais pouvoir illustrer ce thème, il y a tant de choses. Un pouce dans une petite bouche pour calmer un chagrin, un soleil derrière les nuages, l'émotion se glisse partout.  Puis me revient en mémoire, une photo prise cet été lors d'une balade. Un joli petit cimetière qui a dû être aimé, fleuri, Je me suis imaginé les vies de tous ici, abandonnés par la fuite vers la ville, ou autres. Il ne restait que des carcasses.  Une grand émotion m'a envahie.




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  •  

    Chez Brunô

    Encore une idée dont on ne sait où il va les puiser

     

    Récit : l’ascenseur, poème ou texte

    Dans lequel ne sont pas utilisés les mots : ascenseur ; monter ; escalier ; immeuble, cage et étage

     

    Ma participation :

     

     

    Il était une fois un personnage spectaculaire, très imagé, plein de charme et de sensibilité qui répondait au doux nom de Zaza Napoli, c'était un travesti, qui jouait un extraordinaire personnage de théâtre. 

     

    Perruques, maquillages outranciers, timbre de voix ultra travaillé, il était impossible de se rappeler la vraie voix de cette merveilleuse Zaza, follement amoureuse. Elle qui se plaçait entre Edwige Feuillère et Yvette Horner.

     

    Les robes, les froufrous, les plumes roses, coutaient extrêmement cher, c’était vulgaire, outranciers dans cette période des années 1950.

     

    Le producteur aurait apprécié un texte plus élégant, plus correct. Le nom de la pièce était choisi, mais dans un éclat de rire, il a été proposé  ‘prout’. Ce qui est loin de l’espace clos dans lequel cela se passe ? Une sorte de volière, une ménagerie,

     

    Il n’y a pas de barreaux, pas de grillages,  c’est  une sorte de clapier,  dans lequel les protagonistes sont enfermés, au propre et au figuré

     

    Pour arriver à prendre lélévateur social, gravir une après l’autre les marches et se rendre au dernier palier ; il leur aura fallu emprunter de nombreux gradins Ils ont beaucoup déambulé dans ce dédale des idées reçues.

     

    Lorsque les spectateurs sont rentrés dans leur univers restreint, une sorte de  

    prison sociale ils ont beaucoup ri, mais au fond, dans ce monte-charge ludique, installé dans un gratte ciel  en guimauve auront-ils reçu l’échange du renvoi qui permet d’élever des fardeaux plus aisément ?

     

    Nicole Fleuret nov 2009

     

     


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  • chez photographes du dimanche les fleurs sont à l'honneur

    voici ma participation

    en automne
    douceur
    éclatantes couleurs








    Le camélia une fleur, ou plus un arbuste à la joyeuse floraison,

    Cette fleur qu'aimait particulièrement Marie Duplessis, courtisane de son état, dont Alexandre Dumas fils était amoureux, l'a inspiré pour son roman "la Dame aux camélias"

    http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/0/0b/LadyoftheCamellias.jpg


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  • chez Brunö

      Imaginez que vous rencontrez des personnages célébres qui répondent à votre question "comment ca va ?"

    Le père lachaise   :bien,  ici c’est de tout repos

    Jacques prévert : comme la pluie et le beau temps

    Alfred Hitchcock : ferme la fenêtre sur cour, j’ai des sueurs froides

    Yann arthus bertrand : home sweet home

    Barbara : comme une longue dame brune

     

     


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  • je me marre grave

    pour la communauté MICROCOSMOS http://www.over-blog.com/com-1050991033/Microcosmos.html

    photos prises dans l'aquarium de La Rochelle



    et au marché à côté de chez moi

     


    je vous mets un vrai bijou un montage d'Erik Johansson





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  • chez Brunö un récit qui utilisera les 10 mots suivants dans cet ordre :
    valise, bleu, travailler, pensée, train, éclatante, écrire, rêve, voyage, équivoque

    A l'instant je termine le remplissage de ma VALISE
    Le ciel pour le moment est gris, mais mon coeur est en grand bleu
    J'ai le projet immédiat de partir attention, attention messieurs les voyageurs avant la fermeture des portes...
    Inutile de travailler comme une désespérée, quelques vêtements rapidement déposés, une bonne paire de chaussures, le tour est joué.

    A la pensée de monter dès 14 heures dans le train qui va me conduire sur les bords de la grève automnale, grandes marées avec les grosses vagues de l'océan, je suis en joie. De nouveaux oiseaux, de nouvelles odeurs, de nouvelles rencontres.

    A mon arrivée, mon amie, sera là, toujours lumineuse, éclatante avec un sourire qui donne l'envie tout de suite de lui sauter au coup.

    Je ne pourrais ni peindre, ni écrire pendant mon séjour, mais les souvenirs seront engrangés dans ma tête, dans mon coeur, dans mes rêves, sans oublier mon copain de route, mon appareil photos.

    Ce voyage m'inspire confiance et sérénité, amitié et   la certitude d'être bien, il n'y aura ni quiproquo, ni malentendu, c'est sans équivoque. Je rejoins ma cop's amie depuis si longtemps.



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  • l'éphèbe au cap d'agde


    Depuis maintenant plus de 15 ans, le musée de l'Ephèbe  permet au public de faire plus ample connaissance avec le patrimoine archéologique local, patrimoine qui met en valeur l'origine grecque de la cité d''Agathé Tyché. Aujourd' hui, le musée de l'Ephèbe est le seul musée du littoral méditerranéen français à se consacrer aux vestiges archéologiques sous-marins. Sa spécificité est appuyée par les campagnes de fouilles des équipes archéologiques de chercheurs et plongeurs qui viennent des quatre coins du sud de la France.

    Ce qui est extraordinaire c'est que l'ensemble des pièces de ce musée, dont certaines uniques, ont été "pêchées" dans le lit de la rivière l'Herault.


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  • "TAUTOGRAMME EN "S"
    ecrivez un texte en utilisant un maximum de mots commençant pas un "S"
    Sujet et style libres La lettre "S" offre beaucoup de possibilités humour, rythme, mélodie ...
    tout ca chez Brunö  link

     

    Samedi, seul, un  samourai, soyeusement vêtu, sensible sensuel  au sang-mêlé sino-japonais, sillonait sud-sud est sur son singe surnommé Simba
    Soudain, scié par sa scoliose, il s’asseoit., puis s’allonge sans son sabre, et s’endort, sur son dos suprasensible.   Pour se remettre sur pied ou en selle, il  sirote silencieusement saké sur saké sucré à la  saccharine, il salive suavement, puis un soupir de soulagement s’entendit, son dos ne souffrait plus.

    Scandalissime saccharine susurrait son souverain, stupéfait. Le septuagénaire était septique sur la sincérité du samourai,  Sucre, surtout sucre pas saccharine c’était un sacrilège

    Son surintendant, surtout snobinard, surnommé saute-ruisseau, tout sauf sobre, un vrai soiffard,  s’empara sur le champ du saké sus-dit, le siffla sans mot dire ni sourciller, siphoné en six-huit étouffant ainsi le scandale dans une saoulerie spectaculaire. Souriant, saturé dans un habit souillé il lui semblait servir ainsi son souverain, sans souffrir d'une soif sans fin.

     

    Merci Bruno, je me suis amusée

     


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  • Le thème chez Poupinette
    TENIR


    ici les musiciens, seuls, tiennent la note, envers et contre tous.

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  • j'avais traité ce thème et il rentre pile poil dans le THEME DE LA SEMAINE  chez DANA

    Je suis allée aujourd'hui faire un reportage plus conséquent, avec les manèges en plein boum, puisqu'il fait beau et que ce sont les vacances scolaires

     La Vogue des marrons, dernière grande fête foraine lyonnaise
     Au 19e siècle les lyonnais raffolent des vogues (mot qui signifie abondance , affluence). Ils les appellent aussi « Fêtes baladoires », en l’honneur des bals qui s’y déroulent.

    En 1896, la ville totalisait 207 jours de vogues de Pâques à Toussaint. La première était programmée en avril et se tenait quai Claude Bernard. Il y en avait ensuite dans tous les quartiers . La dernière de l’année était celle de la Croix-Rousse sur le plateau. On y dégustait les premiers marrons de l’année et le premier vin blanc. D’où son nom de « Vogue des marrons ». Les baraques des forains envahissaient l’espace publique .

    D’abord implantée dans la Grande rue, la vogue gagna le boulevard après la démolition des remparts en 1866. Les lyonnais s’y rendaient en famille pour profiter des nombreuses attractions qui leur étaient proposées. Manèges, tirs à la carabine, ménagerie, exhibitions multiples de phénomènes du genre humain et animal, lutteurs. On s’y régalait aussi de gaufres, de pâtés de vogue en forme de chapeau de gendarme et bien sûr de marrons grillés et de vin blanc...

    La Vogue des marrons se réinstalle sur le plateau de la Croix-Rousse du 4 octobre jusqu'au 11 novembre 2009.

     

    Des manèges, de moins en moins, car la ''vogue" est moins importante. Mais ceux qui sont implantés sont de plus en plus grands, avec des bruits et des lumières. Les heures d'ouverture sont réduites, car les riverains n'apprécient plus tous ces bruits sous leur fenêtre pendant un mois et demi.

    http://www.e-voyageur.com/forum/album_pic.php?pic_id=275&full=true

     

    Une fête foraine en pleine ville, c'est tout à fait hors du temps, car peu de ville acceptent encore ce genre de manifestation, maintenant ces fêtes sont implantées à la sortie des villes,  mais ici la tradition a la vie dure.




    http://francisb44.free.fr/images/ConteNoel/PICT0022.jpg


    il y a pour ma joie et surtout celle de tous les gourmands, de multiples stands qui offrent toutes sortes de gaufres.
    http://images.doctissimo.fr/photo/hd/242896242/private-category/gaufmol-1068187610.jpg

    http://recettes-de-sylvie.bleublog.lematin.ch/media/00/01/2094547974.jpg

     

     

    tous les parkings sont réquisitionnés pour les manèges, l'accès à un tunnel fermé pour recevoir le grand manège ci-dessus.




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