Dans mon école qui n'était pas misste, même au collège.. les garçons avaient une blouse noire, les filles une semaine la bleue une semaine la  grise, pas question de tricher avec le lavage !! notre nom était brodé sur la poche en rouge. Tout de suite identifiées

un premièr essai de port de masque,  inquiétude , mais là 1942, masques à gaz.

   là nous changions les lames

     La maîtresse nous fournissait une plume neuve, lorsque l'on rendait celle qui était "émoussée'' sésame obligatoire.

Les crayons à papier, avec une un porte crayon pour l'utiliser le plus loin possible. Plus tard, avec le bic cristal, nous glissions notre nom, la responsabilité vous dis-je. Le machouillage du petit bouchon, le faire tenir par aspiration aussi sur la langue, le fracassage du cristal, Nous avions le temps , car un seul à la fois. J'ai fait les 60 km d'écriture avec le mien. Trop forte !!


la, c'est un vrai souvenir, l'école de mon frère.

Rigueur, discipline, avec laquelle j'avais beaucoup de mal.  je ne vous donnerai pas les photos de l'école d'aujourd'hui, vous connaissez par coeur. Juste un aperçu de la difficulté d'être instituteur. Métier que je n'aurai pas voulu faire.

> Le directeur voit le  couteau de Michel et lui demande où il l'a acheté pour aller

> s'en acheter un pareil.

> 2009 :

> L'école ferme,  on appelle la gendarmerie, on emmène Michel en préventive.

> TF1 présente le cas aux informations en direct depuis la porte de l'école.

> 1969  :

> Tu fais une bêtise en classe = Le prof t'en colle  deux.

> En arrivant chez toi = ton père t'en recolle deux autres.

> 2009  :

> Tu fais une bêtise = Le prof te demande pardon.

> Ton père t'achète une console de jeux  et va casser la gueule au prof.!


 1969 :