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    Des mots, une histoire 81  sur une idée d'OLIVIA 

     

    MADAME KU U


     



    Madame KU-U,

     

    Ici les murs sont peints en rose, Madame KU-U, est peinte en rose aussi. Elle est pimpante, philosophe, son discours est agréable. Le maquillage couleur arc en ciel. Ses vêtements brillent comme des cristaux de neige. Ses pantalons ultra moulants, sont soit bleu métallisé, soit blancs, les chaussures, des bottes à franges en cuir perforé en forme de fleurs.

    Quel âge peut-elle avoir ? Juste Vieille ? Sans âge ? Je ne dois pas être loin du compte. Elle a passé des années à régler des boulons de sa vie, qui se dévissaient au fur et à mesure  Sa vie elle l’a déambulée, Comme on dit, c’était du commerce de proximité.  Ah !  Les hommes.

    Depuis de nombreuses, elle est locataire d’un petit appartement, simple, Le  trois, elle le désigne ainsi donne sur la place. Il est coquet, loin d'être une prison

    Mme KU U, pour la descente elle assure, la porte s’ouvre, un pas à droite, c’est le bistro. Sa chaise est là, Jam ne lui demande pas ce qu’elle prend. Aujourd’hui c’est moi qui rince, un pti  blanc.

    Pour continuer mon train de vie, une pensée m’est venue, En se penchant elle me chuchote y’a encore  un vieux beau  que je connaissais d’avant qui  vient me visiter pour le  « tirliponpon sur le chiwawa » si vous voyez ce que je veux dire. Surtout  pas d’effusions, On ne peut pas être  et avoir été

    Pour remonter, c’est autre chose. Allez j’y vais.. J’ai perdu l’appétit, je ne suis pas un poil cuisinière Alors, une banane et au lit jusqu’à demain matin. Je m’oblige à sortir une fois par jour.

    Je la rencontre à 11 h.. Vous avez un moment ? Aujourd’hui c’est moi qui vous invite. Un café pour la dame  pour moi, comme d’habitude. J’ai la gorge qui gratte, avec ces miasmes dans l’air.

    Combien ton café ? , 1€20. Ben tu ne te mouches pas du coude. T’as drôlement augmenté. Mais c’est le premier café que tu paies de ta vie princesse, tu n’en n’as jamais bu, pas plus que de l’eau  


    les mots receuillis par OLIVIA à placer dans le textes étaient 

     pensée - visiter - vieille - trois - désigner - simple - eau - beau  - connaître - miasmes - gorge - entendre - loisir - cuisinière - moment - être (verbe) - effusions - dernier [...]


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      sur une idée d'OLIVIA



    Allo M’man, jch’sui avec P’pa, il est venu pour 3 jours. T’es dac pour mettre un couvert de plus ?

    Il a quitté  sa banquise blonde !! Oh ! Excuse-moi.

    Deux heures plus tard ils sont là.  

    Marc est son fils, Le père, une très vieille histoire, n’est jamais venu chez elle, depuis qu’elle a emménagé, elle ne faisait plus partie du circuit des popotes, susceptibles d’une once d’admiration envers lui, ils en étaient plus genre tournoi à mort, cape et épée, ou fusil à lunette.

    Elle est en apnée, Ne rien faire paraître, me changer les idées.  Tiens se dit-elle ses chaussures sont toujours aussi nickel. Elles ne brillent pas, elles scintillent. Vérification faite, elle ne devait  pas se mentir, cette situation n’était pas un canular, ils étaient bien là, tous les deux.

    Après avoir reçu une coupe de fleurs qu’elle dépose au centre de la table, ils s’installent, discutent, Le pavé de cabillaud est un délice. Tout se déroule  comme si les 35 ans qui les séparaient du précédent repas, obligatoirement houleux s’ étaient évaporés.

    Marc, que l’on penserait absent, déguste cet instant, en se  fabriquant des souvenirs. Comment peut-il en avoir, ils se sont séparés quand il avait 3 ans, alors les repas en famille ! Agnès est sous le choc.

    Veux-tu nous accompagner voir mamie ? C’est pour ça que p’pa est là.  Elle est à l’hôpital  Agnès ne peut pas refuser ce bonheur à son fils. Pour elle, cette femme avait mené sa vie comme un militaire, avec la notion de devoir accompli, sans réelle tendresse, plus une petite pincée de manipulation.

    L’hôpital, est gigantesque, des couloirs qui ressemblent à un échangeur américain, des panneaux lumineux signalant l’unité  Quelle étrange journée,  elle avait échafaudé  d’autres projets : plaisirs,  loisirs.

    Des pans de  sa  mémoire mis en sourdine, ressortent,  elle remet certaines choses à leur juste place. Fini, enfin, les rancunes ?

    …C’est là, elle a été changé de chambre, elle est toute seule maintenant.

    Lorsqu’Agnès se penche pour embrasser mamie, cette dernière s’accroche à son cou, la serre très fort,  l’embrasse comme jamais elle n’a pu le faire auparavant, de générale elle est devenue un simple troufion. Aujourd’hui elle est dans des draps loin des étoffes satinées qu’elle aimait.  Elle a 91 ans. Des 40 précédentes  années elle n’avait eu un geste de cet ordre. 

    Elle mélange le père, le fils, la fille, petite fille, en souriant, donne 70 ans à Marc qui n’a pas encore 40 ans et lui dit, en éclatant de rire, ouvrant grand une bouche dans laquelle les dents sont pour la plupart absentes,  tu ne fais pas ton âge!!.

    Agnès repêche des souvenirs évadés,  ceux de Mamie prennent le large.

    Quelques heures plus tard elle s’écroule sur le canapé,  curieusement légère, A-t-elle enfin pardonné à cet homme, ému auprès de sa mère, a-t-elle revu en lui celui qu’elle avait tant aimé ? Pas besoin de poser des mots, elle est juste enfin en paix.

     

    La récolte de Des mots, une histoire 80 à placer : apnée – admiration – tournoi – vérification – pardonner – mentir – circuit – chaussures – canular – susceptible – emménager – satiné – banquise – cape – scintiller – pavé


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  •    LES PLUMES D ASPHODELE

     

    ce dimanche  s'annonce déjà comme un long cortège de surprises, le processus est bien huilé. 

    'Inventaire : écharpe, gants, chaussettes, bâtons, gratter les vitres de la voiture, il a fait super froid cette nuit. Notre attelage est OK, nous pouvons partir. La journée s'annonce belle,

    Arrivés au point de rencontre, une petite surprise funèbre  nous fait changer nos plans .Une ribambelle de  chiens très excités, Une foule de maîtres arborant des fusils à lunettes, prêts pour abattre les sangliers, un clairon pour rappeler les chiens. Ils sont vêtus de costumes avec des vestes roses  genre chantier. C’est la cérémonie des chasseurs, pas d’acclamation,  Nous en avons assez vu. Pas question de manifester pour ou contre,

     

    Nous sommes  21,  nous irons dans les gorges des Franchards.    .

    Du chêne de George Sand à l'Œil des Nations, nous allons à la rencontre des paysages caractéristiques de la forêt de Fontainebleau. Au printemps elle doit embaumer Chaos, mares mystérieuses, un carnaval d’animaux géants énigmatiques, tortues, dinosaures, dans cette pierre grise tout est admirable.


    LA GORGE DES FRANCHARDS      LA GORGE DES FRANCHARDS

    Les fougères géantes avec leurs habits d'automne ; un rayon de soleil pour attiser l'intensité du jaune d'or, des bruyères gardant amoureusement quelques fleurs encore fraiches, des ancolies sauvages  des champignons, que personne ne va piquer, pas de ramasse aujourd’hui.

     

     


    Les aiguilles de pin déposées sur le sable blanc, craquent. Pas de faune poilu, si à cet instant avançaient vers moi des druides en direction d'un chêne remarquable, je ne serais même pas surprise.

    Il fait un temps merveilleux, vif, bleuté, métallique, l'atmosphère est silencieuse, le froid est couleurs de larmes. Les contrastes à chaque enjambée me coupent le souffle. Le cheminement  s’enchaîne sans mot dire. C’est une succession de  plats et super grimpettes, passages light ou très étroits, je ne vais pas me défiler, je  rampe  pour suivre le chemin, sans me fracasser la tête.

     

    LA GORGE DES FRANCHARDS


    Mon cœur s'emballe, mon souffle devient court, mes joues sont bien rouges, mais mon esprit est calme  Je me sens juste trop bien dans cette nature particulière.

    Un bruit étrange me sort de mes non pensés, une invite bizarre dans ce moment sauvage comme une éternité, c’est la pause…


    Les mots recueillis et à placer dans le texte

     

    Cortège Funèbre – larme – ribambelle – cheminement – fleur – manifester – foule – costumes – rose (couleur ou fleur) – atmosphère – succession – carnaval – piquer – bleuté – attelage – embaumer – ancolie – cérémonie – tête – défiler – abattre – admirable – acclamation.


     


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  • DES MOTS UNE HISTOIRE 79

     

     

     

    Ma bagnole est plus carrosse que racer,  comment  vais-je  pouvoir être à l’heure à mon cours de yoga ?  Petite vérif ,  j’ai bien mon kimono, pas ma blouse comme la semaine dernière. ??

     Zen, zen  Respire, profondément, clic sur le bouton de la radio, écoute, détente.

    Selection 5  France Culture:

    Bonjour et bienvenue sur les chemins de la connaissance… Ce matin, nous serons en direct du magazine union, le magazine des amoureux du sexe. Des journalistes, en pleine séance de travail, nous ferons partager l’ouverture des lettres qu’ils ont reçues aujourd’hui, comment, ou pourquoi ils apporteront une réponse ou même la publieront 

    Les journalistes parlent à 11 heures du matin, de clito, de jouissance, ils donnent même des exemples sur leur propre première expérience. Il y a une vraie alchimie  entre eux.

    Ces mômes cherchent déjà une amélioration de leur performance, sans sécurité évidemment,  ce n’est pas de la grande poésie leur courrier, ils se veulent tous être les sphinx du sexe.

    Qui a parlé de détente ? Tout à coup j’ai un peu chaud, si je m’attendais à ce discours, sur France C, l’usage et les  convenances évoluent, est-ce  l’alternance ?.

     Selection 6 France Inter,

    je regrette déjà mon choix  « …permettre de mieux comprendre la théorie quantique… le concept ….. implications, par le truchement ….description du monde atomique….Saviez-vous que …. une partie importante de vide ? » Pour moi c’est un don de …

    Selection 4 :

    Francois Bayrou explique qu’il a souffert de bégaiement,, écrit une biographie sur Henri IV bla bla...

    Selection 5 : il y a des homos, des hétéros, des multicartes et des indécis. Une fille prend la parole s’agissant de la violence des jeunes, elle est catastrophée par le manque de tendresse de ces derniers, ils ne peuvent imaginer une antienne, ce psaume à l’unisson. Veulent-ils être des supers champions ? Ils sont juste des histrions. Leur éducation se fait le plus souvent à travers des dvd ou le net. Plus un poil de sec, les filles se remettent à la robe pour aller plus vite. 

     Aujourd’hui, je ne sais pas vous, mais cette lecture pour moi, est un vrai travail de romain.

    je suis arrivée, je ne saurais pas la suite. 

     

    Dans la rue  je suis étonnée par mes propres pensées, mais alors !! Les enfants qui naissent dans les choux, la cigogne, ce n’était pas vrai !! Etre chaste jusqu’au mariage, un leurre, si je l’avais su plus tôt !!  


    la réculte des mots a été faite par OLIVIA

    alchimie – blouse – histrion – carrosse alchimie – blouse – histrion – carrosse – amélioration – sécurité – évidemment – poésie – don – chaste – convenance(s) – antienne – alternance – champion – romain – robe – poil – sphinx

     


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  • DES MOTS UNE HISTOIRE 78

     

    Boon-joour à tous, vouous êtes nom om breux au au jourd’hui, pou our assister à à la con on férence sur les anges.

    Nous étions dans le musée religieux de Fourvière, jouxtant la basilique, Une bonne sœur un peu âgée, vêtue d’une robe grise qui frisait la pauvreté, avec des chaussures moniales sans chaussettes, en Octobre, dans cette région, il commence à faire frais. Elle ne manquait pas de vitalité Ses cheveux, blancs et clairsemés, étaient retenues par des peignes transparents. Elle n’avait rien pu faire pour une barbe, qui n’était pas naissante. Dans mon imaginaire, je la vois bien comme infirmière, auprès des grands blessés.  

    Do onc, vo ous êtes da ans un lieu sa a cré, a avez-vous bien é éteint votre portable. Au au jourd’hui a avec ces cho o ses mo o dernes, il fau aut penser à tout. Elle était vraiment charmante, sans prétention, j’ai un peu honte au fond de moi, de me moquer de sa manière de parler, qui était tout, sauf raccourcie.

    La conférence devait durer 1 h 30.  A ce rythme soit nous passions à côté d’un tiers, soit on faisait la fermeture.

    Ah ! vou ous voilà Mo o o nsieur Firmin, nous vo ous attendions a avec impatience.

    Ma sœur c’est Fabien, Exc u sez moi.

     Sa tête vibrait au même rythme que ses mots  hachés, ils oscillaient comme un palanquin sur un dos d’éléphant.

    Ouf ! Monsieur Fabien était le conférencier, Jeune, blond, le crâne rasé, une barbe blonde, elle aussi, Rasée de 3 jours peut être !!.les yeux bleus pétillants d’intelligence et de malice. Il était très à l’aise, ne manquait pas d’humour. L’embonpoint ne le guettait pas. Vêtu de noir, des soucis de détails évidents, le petit gilet à double bouton, le pantalon slim et les bottes, le tout devait tenir dans un petit 40 sans prétention.

    A alors ?! vo vous étiez pe erdu ? Non, j’étais devant une délicieuse tasse de café, j’admirais le paysage, la ville en-dessous, dans une telle lumière, avec cette clarté, j’étais ébloui de plaisir, j’ai saisi l’occasion de me nourrir de cette beauté . Nous allons pouvoir commencer.

    Parmi vous il y a de nombreux visages connus, merci d’être aussi fidèles à mes conférences. …. Le discours est bien rôdé, il est sympathique, souriant, nous sommes silencieux.

    Vous l’avez peut-être déjà remarqué, le parquet sur lequel nous somme craque. C’est le parquet d’origine, il ajoute un vrai plus au ressenti du lieu, Il a subi quelques soucis, mais pas l’irréparable, il est là pour nous accueillir…

    le Christ que vous pouvez admirer , dans nos temps modernes serait un homme dénutri, le marasme se traduit ici par une maigreur extrême, comme malheureusement certains petits enfants du Soudan, le subissent aujourd'hui. 

    Cher monsieur, je vous vois avoir des inquiétudes dans les jambes, vous vous balancez d’une jambe sur l’autre, cela me donne l’occasion de vous parler de l’encensoir que vous apercevez ici, qui était lui aussi balancé par un thuriféraire, c’était à lui que revenait ce devoir ministériel, en tant que supérieur des enfants de choeur.  admirez le travail.. 

    Après être restés super attentifs, mais debout, Geneviève était tellement fatiguée qu’elle avait l’impression d’entendre hurler son dos.

    Pas de prompteur, pas de papier.  Chapeau Firmin, non Fabien.

    La prochaine fois nous changerons totalement d’univers, nous parlerons du gang des lyonnais. Ah oui, chère madame, nous nous éloignons un peu de l’Eglise, Il n'y aura pas de muséen plutôt de la  cambuse, par d'anges mais  des fourbes,  d'environement un peu glauque, de fuite,  de cavale, mon discours se rapprochera cette fois-ci de San Antonio. 

    Merci à tous


    les mots à placer dans le texte : 

    thuriféraire - prétention - vitalité - infirmière - devoir - marasme - raccourci - palanquin - occasion - irréparable - cambrousse - fourbe - glauque - ministériel,

    je n'avais pas vu que "pigouiller" avait été rajouté, en même temps dans un lieu comme celui-ci, que peut on bien pigouiller ? je vous le demande.  on ne va pas se brouiller pour si peu  (lol)


    sont le résultat de la cueillette d' OLI VIA





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  •  JEU-des mots une histoire Olivia 


     

     

     

    Francesco Alberoni, en 1984, dans son livre antichoc « l’amitié » dit que l’on est ami par endroits. Pour des raisons particulières, que l’on n’est pas d’accord sur tout. Ca peut être au départ, la montagne, le ciné, la cuisine, les idées, la communauté de passions va faire le lien, les habitudes et petits plaisirs feront le reste. 

    Lorsque ces raisons sont épuisées, l’amitié s’étire de la pénombre à la mort,, perd ce qui l’a fait naitre. la rancune peut s’emparer du cœur, en mettant dedans une épice malveillante appelée la haine.

    Que nous est-il arrivé Flo ? Comment s’est installée cette distance, nous si proches, si complices. Je n’ai rien vu venir.

    Tu viens de raccrocher .45’ chrono !, c’est l’avantage des téléphones tu sais où tu en es. Moi je ne sais plus où j’en suis, j’ai besoin d’air, d’aérer la pièce, de me ventiler tout entière, dedans, dehors.

    Une idée pas très originale, je prends ma voiture, décidée à rouler rouler, être ailleurs. Or une détonation tout à fait bizarre, limite qui te dit que si tu ne tiens pas le volant, tu t’évanouies, stoppe la voiture. Chouette !! une petite goutte supplémentaire offerte par la maison. 

    Je cherche un hôtel. Là une jeune fille certainement au pair me dit un truc pas très compréhensible :nuitée, bigner, café ? Je fais un vague signe de tête, prends ma clef.

    Dans ma chambre je décrypte : une chambre avec salle de bains et petit déjeuner ?

    Meme avec une bonne nuit, je n'ai jamais su ce qui m’empêcherait de dormir, j’ai un œil vitreux, encore le blues du dentiste qui s’attarde sur mon téton que j’avais coincé en dormant, car j’étais dans la position d’un escargot dans sa coquille

    Toc toc, c’est le petit déjeuner. Waouh ! de quoi te réconcilier tout de suite, un plateau avec pan cakes et un sirop d’érable d’une merveilleuse couleur. Je m’installe pour déguster, bouchée par bouchée, je prends mon temps,

    Douche, mâtinée d’un long massage de pieds, j’adore ca. Ma décision est prise, je passe à autre chose.

    Je ne vais pas m’abandonner à la mélancolie. Bigre ! Quelle idée.

    Tu sais ma Flo je n’oublierai pas nos soirées zouk machines, nos rires, notre complicité, mais le sage a bien raison lorsqu’il dit qu’il est important de vider son seau d’eau si nous voulons le remplir à nouveau ; Tu me laisses de la place pour de nouvelles amitiés, des par endroits, que je saurais ne pas cadenasser 

    sur ce, en route...

     

     

    les mots choisis à placer dans ce texte  recueillis par  OLI VIA

     

    nuitée – zouk – cadenasser – blues – ventiler – vitreux – bigre – communauté – épice – s’abandonner – pénombre – antichoc – téton – escargot – érable – rancune – massage – détonation – rouler – évanoui

     


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