-
est-ce que la maman d'un oeuf de Pâques, c'est une poule en chocolat ?
photo du net
et ici, rue des Marronniers, des spécimen sculpture de P. Arrachart
dont les oeufs en chocoat devraient régaler tout le monde
photo du net
sculpture de JP Blanpain
pas de crise de foie, attention, je vous ai à l'oeil
20 commentaires -
Il fait beau, (enfin dans le coeur...) alors je pars en balade ,
Pâques....... je rends visite à ma fille à Fargues Saint Hilaire en Gironde.
avant de pouvoir se lier d'amitié avec quelqu'un d'autre, il faut être ami avec soi même Eléonor Roosvelt
J'espère rencontrer au moins une amie blogueuse.
Vous pouvez me laisser un mot sur mon mail avec votre n° de téléphone si vous êtes dans le coin et dispo. Je serai absolument ravie.
Absente, mais pas tant que ca...vous m'êtes si précieux. J'ai programmé quelques post. Je passerai vous faire un coucou..
Plein de bisouxx en chocolat
21 commentaires -
pour POUPINETTE ce sera BLANC
l'amour est un petit bateau qui s'en va tout joyeux sur l'onde
voguant vers des pays nouveaux
au hasard de sa course vagabonde
(Charles Trenet)
40 commentaires -
Canelle 56
paysages de France
pour en savoir plus sur cet ouvrage d'exception
http://www.canalmidi.com/aufildlo/libron.html
30 commentaires -
-
•
Terre, planète bleue
Terre, planète bleue, où des astronomes exaltés
capturent la lumière des étoiles aux confins de l'espace.
Terre, planète bleue, où un cosmonaute, au hublot de sa navette,
nomme les continents des géographies de son enfance.
Terre, planète bleue, où une asphodèle germe dans les entrailles d'un migrateur
mort d'épuisement sur un rocher de haute mer.
Terre, planète bleue, où un dictateur fête Noël en famille alors que, par milliers, des
corps brûlent dans les fours crématoires.
Terre, planète bleue, où, décroché avec fracas de la banquise polaire, un iceberg bleuté
entreprend son long périple océanique.
Terre. planète bleue, où, dans une gare de banlieue, une famille attend un prisonnier
politique séquestré depuis vingt ans.
Terre, planète bleue, où à chaque printemps le Soleil ramène les fleurs dans les sous-bois obscurs.
Terre, planète bleue, où seize familles ont accumulé plus de richesses
que quarante huit pays démunis.
Terre, planète bleue, où un orphelin se jette du troisième étage pour
échapper aux sévices des surveillants.
Terre, planète bleue, où, à la nuit tombée, un maçon contemple avec fierté le mur
de briques élevé tout au long du jour.
Terre, planète bleue, où un maître de chapelle écrit les dernières notes
d'une cantate qui enchantera le coeur des hommes pendant des siècles.
Terre, planète bleue, où une mère tient dans ses bras un enfant mort du sida
transmis à son mari à la fête du village.
Terre, planète bleue, où un navigateur solitaire regarde son grand mât
s’effondrer sous le choc des déferlantes.
Terre, planète bleue, où, sur un divan de psychanalyse, un homme reste muet.
Terre, planète bleue, où un chevreuil agonise dans un buisson, blessé
par un chasseur qui ne l'a pas recherché.
Terre, planète bleue, où, vêtue de couleurs éclatantes,
une femme choisit ses légumes verts sur les étals d' un marché africain.
Terre, planète bleue, qui accomplit son quatre-milliard-cinqcent-
cinquante-six-millionième tour autour d'un Soleil
qui achève sa vingt-cinquième révolution
autour de la Voie Lactée.
•
Hubert Reeves astrophysicien
12 commentaires -
J'ai eu plusieurs chances ces derniers temps. La parade amoureuse des poules d'eau et aussi des flamants roses,
bonjour, moi c'est Max... tu me plais poupée
si tu veux bien accepter une petite danse... un pas sur le côté
dis moi Max, tu t'en sors comme un chef
mais t'as pris des cours, je n'ai jamais eu un tel partenaire
j'en peux plus Max, mon héros tu me renverses, me bouleverses
33 commentaires -
Une heure n'est pas q'une heure, c'est un vase rempli de parfums, de sons, de projets et de climats (Marcel Proust)
il vaut mieux perdre sa montre, que perdre son temps (j. Brassard)
38 commentaires -
dans la rue...
Hasard, beau hasard, au détour d'une rue. Un homme grand, crâne rasé, les yeux bleus, tatouages, percings, une voix douce. Un habit de trouvère. Un petit siège bas en bois. Un luth. Ses chaussures sont habitées par de bracelets de grelots.
L'orage vient de passer. Les passants reviennent.
Il s'assied. Nous parle, de ses chants médiavaux, galiciens, ferme les yeux, gratte quelques notes et la magie opère. Sa voix grimpe dans les nimbes, le public s'approche, mais pas trop près, car le chant emplit la tête, le coeur, on écoute en silence. L'émotion. L'émotion dans une rue passante, un samedi après midi. Arrêt sur image, arrêt sur une voix.
Je n'arrive pas à mettre la petite vidéo que j'ai faite, je me sers de utube
45 commentaires -
C'est le chant des galets qui enseigne la manière de bâtir un mur. Et quand un galet ne se trouve pas bien dans le mur, le mur ne se trouve pas bien debout
Pierre Jakez Helias
Cette petite pierre fait partie d'un mur qui date de 17 siècle.
28 commentaires -
J'allais au Luxembourg rêver, ô temps lointain,
Dès l'aurore, et j'étais moi-même le matin.
Les nids dialoguaient tout bas, et les allées
Désertes étaient d'ombre et de soleil mêlées ;
J'étais pensif, j'étais profond, j'étais niais.
Comme je regardais et comme j'épiais !
Qui ? La Vénus, l'Hébé, la nymphe chasseresse.
Je sentais du printemps l'invisible caresse.
Je guettais l'inconnu. J'errais. Quel curieux
Que Chérubin en qui s'éveille Des Grieux !
Ô femme ! mystère ! être ignoré qu'on encense !
Parfois j'étais obscène à force d'innocence.
Mon regard violait la vague nudité
Des déesses, debout sous les feuilles l'été ;
Je contemplais de loin ces rondeurs peu vêtues,
Et j'étais amoureux de toutes les statues ;
Et j'en ai mis plus d'une en colère, je crois.
Les audaces dans l'ombre égalent les effrois,
Et, hardi comme un page et tremblant comme un lièvre,
Oubliant latin, grec, algèbre, ayant la fièvre
Qui résiste aux Bezouts et brave les Restauds,
Je restais là stupide au bas des piédestaux,
Comme si j'attendais que le vent sous quelque arbre
Soulevât les jupons d'une Diane en marbre.
V. N HUgo a 15 ans
37 commentaires -
-
Les herbes folles
Tous les animaux sont égaux, mais il y a des animaux plus égaux que d'autres (George Orwell)
la porc épic en pleine sieste
20 commentaires -
Boulette, connerie, désespoir, colère, courroux, exarcébation, Je n'ai pas de mot pour définir l'état dans lequel je suis.
Je me sers de Picasa pour mes photos. Je commence d'en avoir pas mal, j'ai voulu faire le ménage. Ce qui, il faut bien le dire, n'est pas mon occupation favorite.
Je demande si il y a des doublons. Déjà là, je ne comprends pas qu'une photo puisse s'installer une, deux ou ... fois !! bref.
Je vois des dossiers identiques deux fois, l'un au dessous de l'autre.
Voilà qui est pratique pour aérer, clic un coup.
On me demande si je veux supprimer le dossier et ses sous-dossiers. Ben.. woui, piske j'en ai deux les mêmes.
Et là, sous mes zieux zébahis, les deux dossiers ont disparu. Engloutis, perdus à jamais.
Le boulette est une bonne leçon, car les photos étant prises dans Lyon, je vais vendredi matin, repartir à la chasse. Mais je sais maintenant qu'il faut renommer un dossier pour pouvoir effacer l'autre. Non, je vous entends, je ne les avais pas mis ailleurs. C'est la seconde énorme leçon. J'ai voulu parer au plus presser.
Que disait mon grand père ???
ah ! oui .... allons lentement, nous sommes pressés
51 commentaires -
Ce miroir était vendu chez IKEA, ne le cherchez pas dans le catalogue, il n'y en a plus un seul en stock j'ai appelé
41 commentaires -
Canelle 56 et ses paysages de France
Un petit tour à Parmilieu, un village d'Isère, réputé pendant de nombreux siècles pour son calcaire ultra dur (densité 2.7) Tout dans ce village est en pierre
ces pierres ont été extraites à la main. Elles pèsent environ 2 tonnes chaque, elles sont fichées dans le sol d'un tiers.
voilà où travaillaient les carriers
les fameuses pierres, qui pouvaient atteindre jusqu'à 6 tonnes
une carrière exploitée occasionnellement, mais de façon moderne avec du matériel perfectionné. Les pierres peuvent être beaucoup plus grandes et lourdes.
50 commentaires