•  

     

    J'aime beaucoup cette tradition douce et odorante du muguet

     

     

                                                     

     

    un petit coup d'Ivan Rebroff, j'ai beaucoup aimé cet interprète, voix ronde et  chaude ... 

     

     

     

    je veux croire que ce bouquet vous porte bonheur. C'est comme le Père Noel, il faut y croire. 

     

     


    10 commentaires
  • si tu veux arriver à photographier un papillon ou une libellule qui se déplacent, commence par un oiseau en vol, c'est moins rapide. WOUIIIII

    Déjà il faut que j'arrive à le repérer dans le ciel, ce qui pour moi n'est pas une mince affaire. sauf miope, j'ai tout le reste, bon on se concentre, serrer les coudes sur les flancs, ca pas difficile, car mes flancs sont ceux d'une poule pondeuse, puis tu ne touches plus rien, le mieux pour toi, c'est tout automatique. Je sens que mon cas photo est un peu désespéré, or j'aime faire de la photo, Mes photos seront donc comme mes gâteaux bof pour la présentation

    Flou ??? mais je l'ai fait exprès, bien entendu. Ce que vous les pro vous n'arrivez pas à atteindre... hihihih

    VOILA l'oiseau en vol

     

    VIVRE LA LECON

     

     

    et si l'oiseau ne vole pas ??? !!! je ne boude pas mon plaisir

     

    VIVRE LA LECON en plein vol


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  • à l'aube de cette nouvelle année je viens vous présenter à tous et toutes, mes meilleurs voeux. 

    J'espère que votre vie pourra cheminer le plus tendrement possible tout au long de 2013 , entourés de ceux que vous aimez, avec le principal, une santé de fer, au plus près de vos envies. 

     

    LA DISTANCE QUI RELIE LE CIEL A LA TERRE EST CELLE D UNE PENSEE (proverbe mongol)

     

    je vous offre l' oiseau de paix que j'ai aperçu hier de ma fenêtre

     

     

    AU REVOIR 2012, BONJOUR 2013

     

     

     

     

     


    31 commentaires
  •  

    RENCONTRES par Grand corps malade, sera ma manière à moi de penser aux milliers d'hommes, de femmes et d'enfants qui ont attapé la maladie du ruban rouge

    30 ans !! 30 ans....et les chiffres restent effrayants

    34 millions de personnes vivent avec le VIH dans le monde

    2.5 millions de nouvelles infections chaque année

    1.5 millions de décès

     

     

     FAITES PASSER LE MESSAGE TOUJOURS D ACTUALITE

     

     

     

    C'était sur une grande route, j'marchais là d'puis des jours
    Voire des s'maines ou des mois, j'marchais là d'puis toujours
    Une route pleine de virages, de trajectoires qui dévient
    Un ch'min un peu bizarre, un peu tordu comme la vie

    Evidemment j'étais pas tout seul, j'avais envie de faire conaissance
    Y avait un tas d'personnes, et personne marchait dans l'même sens
    Alors j'continuais tout droit mais un doute s'est installé
    Je savais pas c'que j'foutais là, encore moins où j'devais aller
    Mais en ch'min au fil du temps j'ai fait des sacrées rencontres
    Des trucs impressionnants, faut absolument qu'j'vous raconte
    Ces personnages qu'j'ai croisé c'est pas vraiment des êtres humains
    Tu peux parler avec eux mais jamais leur serrer la main

    Tout d'abord sur mon parcours j'ai rencontré l'innocence
    Un être doux, très gentil mais qui manque un peu d'expérience
    On a marché un p'tit moment, moins longtemps que c'que j'aurais cru
    J'ai rencontré d'autres éléments et l'innocence a disparu

    Un moment sur mon ch'min j'ai rencontré le sport
    Un mec physique, un peu grande gueule, mais auprès d'qui tu d'viens fort
    Pour des raisons techniques on a dû s'quitter c'était dur
    Mais finalament c'est bien comme ça, puis l'sport ça donne des courbatures

    J'ai rencontré la poèsie, elle avait un air bien prétentieux
    Elle prétendait qu'avec les mots on pouvait traverser les cieux
    J'lui ai dit, j't'ai d'ja croisé et franchement tu vaux pas l'coup
    On m'a parlé d'toi à l'école et t'avais l'air vraiment relou
    Mais la poèsie a insisté et m'a rattrapé sous d'autres formes
    J'ai compris qu'elle était cool et qu'on pouvait braver ses normes
    J'lui ai d'mandé tu penses qu'on peux vivre ensemble, j'crois qu'j'suis accro
    Elle m'a dit t'inquiêtes le monde appartient à ceux qui rêvent trop

    Puis j'ai renconctré la détresse, et franchement elle m'a saoulé
    On a discuté vite fait mais rapidement je l'ai r'foulé
    Elle a plein d'certitudes sous ses grands airs plein d'tension
    Mais vous savez quoi ? La détresse, elle a pas d"conversations

    Un moment sur ma route j'ai rencontré l'amour
    J'lui ai dit tient tu tombes bien, j'veux t'parler d'puis toujours
    Dans l'absolu t'es une bonne idée mais dans les faits c'est un peu nul
    Tu pars en couilles une fois sur deux, faudrait qu'tu r'travailles ta formule
    L'amour m'a dit, écoute petit ça fait des siècles que j'fais mon taff
    Alors tu m'parles sur un autre ton si tu veux pas t'manger des baffes
    Moi j'veux bien être gentil mais faut qu'chacun y mette du sien
    Les humains n'font aucun effort et moi j'suis pas un magicien
    On s'est embrouillé un p'tit moment et c'est là qu'j'me suis rendu compte
    Que l'amour était sympa mais que quand même il s'la raconte
    Puis il m'a dit qu'il d'vait partir, il avait des rendez-vous par centaine
    Que ce soir il d'vait diner chez sa d'mi soeur : la haine
    Avant d'partir j'ai pas compris, il m'a conseillé d'y croire toujours
    Puis s'est éloigné sans s'retourner, c'était les derniers mots d'amour
    J'suis content d'l'avoir connu, ça j'l'ai bien réalisé
    Et je sais qu'un d'ces quatre on s'ra amené à s'recroiser

    Un peu plus tard sur mon ch'min j'ai rencontré la tendresse
    Ce qui reste de l'amour derrière les barrières que le temps dresse

    Un peu plus tard sur mon ch'min j'ai rencontré la nostalgie
    La fiancée des bons souvenirs qu'on éclaire à la bougie

    Assez tôt sur mon parcours j'avais rencontré l'amitié
    Et jusqu'à c'jour, elle marche toujours à mes côtés
    Avec elle j'me tape des barres et on connait pas la routine
    Maintenant c'est qûr, l'amitié, c'est vraiment ma meilleure copine

    J'ai rencontré l'avenir mais il est resté très mystérieux
    Il avait la voix déformé et un masque sur les yeux
    Pas moyen d'mieux l'connaitre, il m'a laissé aucune piste
    Je sais pas à quoi il r'semble, mais au moins j'sais qu'il existe

    J'ai rencontré quelques peines, j'ai rencontré beaucoup d'joie
    C'est parfois une question d'chance, souvent une histoire de choix
    J'suis pas au bout d'mes surprises, la d'sus y a aucun doute 
    Et tous les jours je continue d'apprendre les codes de ma route

    C'était sur une grande route, j'marchais là d'puis des jours
    Voir des s'maines ou des mois, j'marchais là d'puis toujours
    Une route pleine de virages, de trajectoires qui dévient
    Un ch'min un peu bizarre, un peu tordu comme la vie

     

     


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  • J ai commencé une ''collection"" d'amoureux 

     là où on s'aime, il  ne fait jamais nuit  'proverbe africain'

     

    BELLE JOURNEE A VOUS


    14 commentaires
  • Je ne connais pas la signification des paroles, est-ce dommage !!

     

    ce que j'aime c'est la mélodie de cette chanson, la voix ivre de whisky et de cigarettes

     

     


    14 commentaires
  •  

     

    beaucoup de génie dans ce monde pluvieux,

     


    13 commentaires

  • L'absence est une ride du souvenir. C'est la douceur d'une caresse, un petit poeme oublié sur la table (Tahar ben Jelloun)


     

    nov-le-croisic-09-305.jpg

     

     

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  • Paroles Herbert Pagani Lecons De Peinture

    POESIE CHEZ LES CROQUEURS DE MOTS


    Messieurs ! Assez plaisanté !
    Chuuut ! Silencio !
    Leçon de peinture : première !

    Le noir !
    Les bleus ! voilà…
    Les verts, s’il vous plaît ?
    Plus fort, plus de courage…
    Les jaunes, les rouges…
    Tous ensemble !
    Merci messieurs !
    Attention…

    Quand je sors de Paris, Capitale poubelle,
    Quand je fuis ses affiches qui m’engueulent en couleur,
    Quand je laisse ses gris dans mon rétroviseur
    Pour chanter quelque part, entre Loire et Moselle,
    Je découvre ta face balayée d’hirondelles,
    Et je redeviens peintre, et j’oublie le chanteur.

    Ah ! Les ciels qui me donnent des leçons de peinture.
    T’as des ciels, des tableaux de la Révolution.
    Tes nuages crachés par d’énormes canons
    Se bagarrent si haut quand on passe en voiture,
    Qu’on dirait des navires en conquête d’Azur,
    Et floconnent si bas, qu’ils me touchent le front.

    Tes chaumières ont tout l’air de sortir d’une Bible
    Rédigée par les soins d’un Moïse Normand,
    Et tes prés sont d’un vert tellement comestible,
    Qu’on s’y rêve cheval pour y paître un instant.

    T’as des ciels de Vlamenque, mais d’un bleu qui voyage.
    T’as des champs de Van Gogh, mais avec des odeurs.
    T’as Monnet pour les eaux, les reflets, les vapeurs,
    Et ces jungles fleuries dans les gares de village,
    C’est tellement du Rousseau qu’on se dit c’est dommage,
    Il y manque un lion souriant dans les fleurs.
     
    Qu’ils me guident du ciel ou qu’ils soient à mes trousses,
    Qu’ils soient d’or ou de cuivre, de brume ou de sang,
    Ton soleil me révèle, selon l’heure ou le temps,
    Des printemps japonais, des automnes de mousse,
    Des étés pissenlits, patronnés par Larousse,
    Des novembres de pluie, des hivers de diamants.

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    Et tes boules de gui suspendues dans le vide
    Prouvent bien que la Gaule n’a jamais disparu,
    Puisqu’elle est encore là, qui te lance un salut,
    De ses mille ballons footballés par les druides.

    Et pourtant, moi qui prend tes leçons de peinture,
    Moi qui chante ta terre à tes propres enfants,
    Moi qui, à force d’amour, ait perdu mon accent,
    Et te taille en français des quatrains sur mesure,
    Comme bien des amants, j’ai aussi ma blessure,
    Que je garde secrète, mais qui saigne pourtant.

    M’as-tu bien regardé ? J’ai la boucle Berbère.
    M’as-tu bien écouté ? J’ai la voix d’un maçon.
    C’est dans l’huile d’olive que je cuis mes chansons,
    Et je parle des mains, et j’adore ma mère,
    Et j’ai tant de pogromes dans mon cœur millénaire,
    Que j’hésite parfois à manger du jambon.

    Tu commences à comprendre pourquoi je m’inquiète,
    Quand je vois le mépris qu’ont parfois tes enfants,
    Pour les Noirs, les Arabes, les Juifs, les Gitans
    Qui n’ont pas le talent de passer pour poètes.

    C’est au nom de tes ciels aux mouvantes peintures,
    C’est au nom des concerts que dirigent tes vents,
    C’est au nom de ma chance et de tant de tourments
    Que je pose à présent ma question, ma blessure :

    Est-ce vrai qu’on t’encombre avec notre nature,
    A moins qu’on ne l’exprime d’une scène en chantant.


    12 commentaires
  •  

    CREDO  ( LUCIEN JACQUES)

     

     

    Je crois en l'homme cette ordure,
    Je crois en l'homme ce fumier,
    Ce sable mouvant, cette eau morte.
    Je crois en l'homme, ce tordu,
    Cette vessie de vanité.
    Je crois en l'homme, cette pommade,
    Ce grelot, cette plume au vent,
    Ce boute-feu, ce fouille-merde.
    Je crois en l'homme, ce lèche sang.
    Malgré tout ce qu'il a pu faire
    De mortel d'irréparable.
    Je crois en lui
    Pour la sûreté de sa main,
    Pour son goût de la liberté,
    Pour le jeu de sa fantaisie.
    Pour son vertige devant l'étoile,
    Je crois en lui.
    Pour le sel de son amitié
    Pour l'eau de ses yeux, pour son rire,
    Pour son élan et ses faiblesses.
    Je crois à tout jamais en lui
    Pour une main qui s'est tendue.
    Pour un regard qui s'est offert.
    Et puis et avant tout
    Pour le simple accueil d'un berger.

    Lucien Jacques


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  • Le premier mai n'est pas très gai, je trime a dit le muguet

    sois pas chicaneur

    car tu donnes du bonheur

    (G. Brassens)

     


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  • parc-6.3-089.jpg
    J'allais au Luxembourg rêver, ô temps lointain,
    Dès l'aurore, et j'étais moi-même le matin.
    Les nids dialoguaient tout bas, et les allées
    Désertes étaient d'ombre et de soleil mêlées ;
    J'étais pensif, j'étais profond, j'étais niais.
    Comme je regardais et comme j'épiais !
    Qui ? La Vénus, l'Hébé, la nymphe chasseresse.
    Je sentais du printemps l'invisible caresse.
    Je guettais l'inconnu. J'errais. Quel curieux
    Que Chérubin en qui s'éveille Des Grieux !
    Ô femme ! mystère ! être ignoré qu'on encense !
    Parfois j'étais obscène à force d'innocence.
    Mon regard violait la vague nudité
    Des déesses, debout sous les feuilles l'été ;
    Je contemplais de loin ces rondeurs peu vêtues,
    Et j'étais amoureux de toutes les statues ;
    Et j'en ai mis plus d'une en colère, je crois.
    Les audaces dans l'ombre égalent les effrois,
    Et, hardi comme un page et tremblant comme un lièvre,
    Oubliant latin, grec, algèbre, ayant la fièvre
    Qui résiste aux Bezouts et brave les Restauds,
    Je restais là stupide au bas des piédestaux,
    Comme si j'attendais que le vent sous quelque arbre
    Soulevât les jupons d'une Diane en marbre.

    V. N HUgo a 15 ans

    37 commentaires
  • Pastelle m'a fait découvrir une sculpture Depuis mon enfance je passe et repasse dans ce jardin, jamais je ne l'avais vue. Elle l'aime dans sa totalité, moi c'est la main qui m'a plu, elle m'a parlé de la solitude.

    neige-2010-191.jpg


    La solitude c'est une langue étrangère

    car cinq devient un!! 1 kg devient 200 grammes

    nous, devient je

    ils, devient tu

    chambre double

    devient single avec supplément

    jolie table rectangulaire devient impair, 5/7  moche
      plus ou moins doué pour apprendre
    C'est tout à coup l'exil dans un pays inconnu
    ses mots ne sont ne sont plus les nôtres, on est un peu perdu

    au resto, tu traverses une grande salle vide

    pour être placée entre les chiottes et la cuisine,

    plus loin c’est la cour.

      Non, la solitude n’est agréable pour personne.

      Elle s'enroule , aspire, statufie,
    Se nourrit de  nos états d'âme
    La fuite, le refuge, l'isolement, le silence
    Non pas doué ,ca prends l'eau,  ca coule,

    Tu veux t'en sortir, elle te rattrape
      tu appelles, elle raccroche
      Tu la jettes, elle revient, tu l'ignores elle est là,
    tu l'écrases, la pilule, la sommeil, la voyage,
    elle te colle, comme les bonbons et chamallows que tu t’envoies,

    elle est sous tes semelles
    dans ta bouche, devant tes yeux
    elle transpire à ta place

    Tu veux fondre, elle t'en empêche, elle te glu,
    elle te caramélise, elle te muetise, te coupe, t'évince, te rend insupportable,
    elle est devenue toi, te supplante,
    C'est une secte avec beaucoup d'adeptes, une dope, un shoot,
    c'est une religion sans amour

      tu manges dans le papier gras du jambon,

    tu te colles un masque vert sans gêner personne,

    tu ne te laves pas le dimanche

      Monstrueuse comme la pieuvre, tentaculaire, un jour elle te prend la main, puis le corps, puis le cœur, puis l'âme, puis t' avale, t'es foutu. Il n’y a vraiment personne  pour empêcher tout ca ?

    Nicole F



    32 commentaires
  • Image du Blog iledebeaute.centerblog.net


    EN MUSIQUE  JE VOUS SOUHAITE A TOUTES ET TOUS LA PLUS DOUCE des ANNEES TENDRESSE PARTAGE AMITIES PEPETTES

      même tout petit, mettre en place la réalisation d'un rêve,

    Les épines, ça ne sert à rien, c'est de la pure méchanceté de la part des fleurs !  (Le Petit prince)

     


     

     beaucoup de joie et d'amour, faites comme les abeilles, plein les poches

    JOIE JOIE JOIE

     

    balaruc aout 2009 079





    38 commentaires
  • sans parole
    chaises vides
    dernier marathon









    8 commentaires
  •  Dans le meli-melo, j'ai toujours préféré le meli (J.F. Deniau)




    11 commentaires
  • croqueurs de mots une nouvelle communauté, propose un jeu d'écriture autour de 1 à 10

    MARIE ET MARELLE

    Un matin comme un autre,
    nous étions deux amies,
    qui allions à trois pas de là, à l'école
    main dans la main
    Dans le cartable un quatre quart,
    partagé en six parts
    avalé en cinq sept,
    un jeu de marelle
    je lance sur le 8
    je perds sur le 9


    à ton tour...
    nous nous entendons comme les dix doigts de la main




    22 commentaires
  • voir, entendre, aimer. La vie est un cadeau dont je défais les ficelles chaque matin au réveil (C. Bobin)


    14 commentaires


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