Hier j'ai fait ma maline, mais je me suis écroulée, j'ai fait largement le tour du cadran. La chaleur est déjà là, 27° annoncés. Je suis une jamais contente, car je suis mal si il fait chaud, je grelote si il fait froid. Je soupçonne un déréglage sérieux de mon thermostat. Ca fait 60ans que ca dure, je vais bien finir par m'y faire. 

une pub d'un autre âge

je ne sais pas à quoi ils servent ces pots, et vous ? 

Palanquin pour éléphants

marchand de galettes 

j'ai entendu .... Lé.. On.... j'ai vue Lé.... Onne    je pense qu'il devait me regarder de loin, 

Dans la rue,  des travestis collectant agressivement des aumônes, entre les voitures. Dans l'Inde actuelle il n'existe plus à proprement parlé d'eunuques, mais des androgynes, qui n'appartiennent à aucun sexe,  plus d'un million et demi, c'est ce qui m'a été dit , maintenant y a - t il un recensement, j'en doute. 

Ils ont leur propre religion, leurs normes, leurs lois, leurs coutumes particulières. Lorsqu'ils dansent, la joie se lit sur les visages. Minces le plus souvent, très souples, maquillés, bijoutés, jamais dans ces moments-là, il est possible d'imaginer leur détresse. 

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Étonnant de voir les hommes danser avec ces hijra, pays de contrastes.

Ils ont eu leur heure de gloire auprès des Maharadjas, car gardiens des harems et de la fidélité des épouses. Ils étaient riches. A cette époque, les mères soucieuses d'un meilleur avenir pour leur garçon, allaient jusqu'à les émasculer, pour leur donner une chance. 

 Ils sont tombés avec eux. Très attachés à leur maître nombre d'entre eux sont partis en exil avec les maharajas ou se sont donnés la mort.

Les hijra sont invités aux mariages, aux inaugurations de magasins, ou naissance car selon la croyance, ils seraient capables de faire passer la shakti, soit la puissance. 

Ils dansent lors de nombreuses fêtes. 

une galerie de portraits de gens plus beaux les uns que les autres

 il nous chante une balade, en fait, il s'adresse à Elyane, elle a eu beaucoup de chance ce jour-là

La journée a été bien remplie, mes copines vont à la recherche de passementeries, elles reviennent chargées de merveilles. Moi, je les lâche car j'ai une petite idée derrière la tête. J'ai vu une pancarte pour des massages. Moi, j'adôôôôô reuh... 

Je toque à la porte, au rideau serait plus adapté. Une belle nana avec un sourire dents blanches m'accueille.

Quelques minutes plus tard je suis sur un table réalisée peut être en béton, elle manque un peu de souplesse, en même temps les matelas de notre chambre ont quelques noyaux de pêches dissimulés, je m'endurcie. J'entends le bruit des flacons, des bouchons, je sens une merveilleuse odeur et, ses mains se posent sur moi. Non, elles ne sont pas douces, car ce métier doit être un plus. Elles sont fermes, rugueuses, bienveillantes. Elle murmure des mots que je ne comprends pas, alors elle me sourit.  Après une heure je suis totalement délassée, ce n'est qu'un peu plus tard que j'aurais des courbatures. Vous avez ainsi une idée de l'intensité du soin. 

 Nous allons déguster notre repas sur une terrasse, Avant, un petit tour par le chateau

 des fresques du XVIII e très prisées  dans la région, Ce château a donné vie à cette ville que moi je trouve fantôme et qu'ici on trouve ville des contes de fées

petite devinette

 en plein rien sur la route 

il y a ça

KOI SKE TI ??? 

j'attends vos suggestions

à bientôt pour la suite de mon carnet de voyage